Contient douze longs poèmes aux noms des mois de l'année, en forme d'ode à diverses entités amoureuses. (Electre)

Ces poèmes évoquent le Zuiderzee, terre des Pays-Bas gagnée sur la mer du Nord, et l'au-delà de ces frontières établies par les hommes, l'océan dans toute son impétuosité.

La cérémonie du thé constitue, pour le poète, la structure idéale pour un recueil où se mêlent initiation et mysticisme, spiritualité orientale et pragmatisme occidental. ©Electre 2019

Léo se souvient de l'enchaînement de circonstances l'ayant conduit, dix ans auparavant, à ne pas rentrer chez lui auprès de sa femme, Tarpéia.

Isabelle ne cesse de fuir sa souffrance. Ceux qui l'entourent ne l'aident pas à parler : son amant Ludovic se contente de messages insignifiants, sa mère n'évoque que des platitudes, sa patronne Joëlle et son collègue Alain s'en tiennent à une relation professionnelle, son patient Ralph reste silencieux. Jusqu'au jour où la parole se libère. Premier roman. (Electre)

Recueil de poèmes évoquant un voyage en Irlande, décrivant les routes empruntées au gré du hasard et les habitants rencontrés.

Recueil de nouvelles courtes qui s'imprègnent du quotidien pour parler de relations amoureuses, décrire des paysages champêtres...

Ces poèmes célèbrent la métaphore des pierres, et sont accompagnées de photographies de zones de moyenne montagne.

René Godenne est né à Liège en 1937. Docteur ès Lettres, il a enseigné dans sa ville natale et à l'étranger. Sa bibliographie est abondante : portent sa signature livres, articles de périodiques, introductions à des réimpressions de textes du XVIIe siècle, notices, etc. « Missionnaire » de la nouvelle, on le retrouve aussi à travers de nombreuses interviews ou lors de conférences, débats, jurys et émissions diverses. Son site Internet fait référence en la matière.

Recueil de poèmes consacrés chacun à un thème précis évoqué dans son titre (poème pour aimer, pour l'oubli, pour Vézelay, pour Diogène, pour le sable, pour Pégase, pour la jouissance, etc.).(Electre)

Cinq nouvelles évoquant les hasards, les coïncidences et les rencontres improbables qui jalonnent l'existence et dont le sens peut parfois dérouter. ©Electre 2015

C'est quoi, être écrivain ? Dans sa préface, Jean Claude Bologne relève les trois termes qui fondent et justifient cette drôle d'activité, selon Michel Host, dans ces méditations vagabondes : le plaisir, la nécessité et la sincérité. Plaisir, forcément premier, de jouer avec les mots, la langue. Nécessité de répondre à une injonction mystérieuse. On écrit parce qu'une histoire, un poème, un roman demandent à naître ; « les racines veulent puissamment leur arbre, sans savoir ce qu'il sera, quelle forme il prendra ». Sincérité, non d'une impossible et d'ailleurs inutile vérité biographique (l'écrivain ment comme il respire) mais des moyens mis en œuvre pour répondre à la volonté d'être du texte. Ne pas vouloir récupérer, utiliser une histoire, un sujet, une inquiétude, un élan qui poussent pour servir une idée, une cause, et moins encore un plan de carrière. On ne dirige pas un texte, on épouse au mieux son rythme, le laissant nous mener où lui veut aller. « l'êtrécrivain » est ainsi tout à la fois un essai et un autoportrait de l'homme en écrivain, avec son bagage de vie, ses convictions qu'on peut ou pas partager, sans que l'introspection – sincère, justement – perde rien de sa passionnante pertinence.