La poétesse exprime ce qu'elle ressent devant le spectacle de la nature, une peinture de Nicolas de Staël, ou médite sur l'expérience de l'écriture. ©Electre 2017

Des poèmes qui expriment la fragilité de la condition humaine et le lien ontologique entre Jérusalem et Auschwitz. ©Electre 2017

Le narrateur rencontre, désire et aime une succession de femmes, ce qui offre autant de déclinaisons et de nuances du sentiment amoureux : attentes d'un rendez-vous, instants de bonheurs et chagrins impérissables. ©Electre 2017

Recueil de poèmes dans lesquels l'auteur s'interroge notamment sur le sens de la poésie. (Electre)

Un abécédaire illustré composé de tautogrammes, textes dont chaque mot commence par la même lettre, de l'anecdote accablante au zézayant zakouski. ©Electre 2016

Recueil de poèmes en prose mêlant vécu intime, épisodes historiques et allusions mythologiques. Electre 2015

A travers ces poèmes en prose, l'auteure tente de conjurer sa peur par le pouvoir d'écrire et exprime les drames de l'histoire humaine. ©Electre 2018

La guerre de Sécession se déroule de 1861 à 1865. De nombreux photographes la couvrent et l'un d'eux, M. Gardner, en tire un ouvrage célèbre. Dans les années 1960, un jeune garçon est fasciné par une série de chromos consacrée au conflit. A l'époque actuelle, un reporter recherche des photographies inédites. Cet ouvrage entrelace ces récits entre histoire et fiction. (Electre)

Recueil de poèmes intimistes, en vers ou en prose, fragments de pensée inspirés du quotidien.

Ces poèmes suivent les rythmes cosmiques pour chanter leur éternité.

Les poèmes s'articulent autour de quatre parties et traitent d'histoire, de violence et d'amour à travers les pensées du poète.

Un recueil de poèmes inspirés de promenades en plein air au printemps qui évoquent le lien puissant de l'homme à la nature. Les peintures qui les accompagnent proposent un contrepoint graphique et végétal. ©Electre 2019

LE LIVRE Ces «quelques pas hors de l'éternité», ce sont les moments que la vie retient, et qui reviennent nous hanter ou nous ravir. Mais aussi les pas qu'efface notre mémoire. Ce sont aussi les derniers pas, si précieux qu'on les garde en silence, ceux d'avant la fin, cette éternité. Être hors de l'éternité, c'est aussi être pleinement dans la vie. EXTRAIT Déplie sur la table la carte de ta vie coche les paysages que tu voudrais emporter surligne les chemins qui t'ont mené au fond de toi comme ailleurs et nulle part entoure les bifurcations dans le brouillard et l'adversité pour demain et la mémoire en miettes L'AUTEUR Né en 1943 à Wingen-sur-Moder (France, Bas-Rhin) où il passa son enfance et vit. Il a reçu le Grand prix international de poésie Guillevic-ville de Saint Malo en 2016 pour l'ensemble de son œuvre. La plupart de ses recueils sont édités aux Éditions Rougerie.

Recueil de poèmes sur le temps : l'oubli, la désillusion face à une époque révolue, le souvenir, etc. (Electre)

Recueil de poèmes en vers libres ou en prose évoquant la mort, l'écoulement du temps, le passage, l'art poétique. (Electre)

Un recueil de poèmes publiés entre 1975 et aujourd'hui, avec des inédits. Le difficile retour à la vie qu'accompagne le printemps après un rude hiver, lourd de souffrances ; chaque existence éphémère perdue dans l'histoire de l'humanité, en sont les thèmes principaux. (Electre)

Un recueil de poèmes dans lequel l'auteur interroge le rôle de la poésie à travers le temps, les saisons et les sens. ©Electre 2019

Ecrits entre 1989 et 1996, ces 69 textes questionnent la construction de l'identité, la vie personnelle, le rêve ou encore le lien entre la poésie et le poète. ©Electre 2019

ROBERT BRINGHURST est né en 1946 à Los Angeles. Il vit en Colombie Britannique, au Canada, depuis 1973. Ce lien avec le territoire qu'il habite, manifesté par l'étude intensive de ses langues, de sa faune, de sa flore et de ses minéraux, informe le travail poétique de Robert Bringhurst et, plus largement, son œuvre polymorphe tout entière. Le mythe lui est un véhicule privilégié pour revenir, à travers les âges, à la réalité de la relation et du dialogue entre l'homme et son environnement. C'est cette quête qui l'a conduit à apprendre les langues des peuples Navajo et surtout Haïda. La culture, pour Robert Bringhurst, ne peut être affaire de patrimoine génétique, le poème étant un organisme vivant et mutant pour lequel le poète travaille en mécanicien, en charpentier, en architecte voire en botaniste. EXTRAIT La lune comme un lapin se faufile de nuage en nuage. Dans le noir, on ne voit pas les enterrements. La lumière – qu'importe qu'il nous en soit donné peu ou prou – se déverse sur nos joues, encore qu'une portion en soit chaque jour mangée par nos yeux, pour nourrir les fruits immangeables de nos voix. Quoi qu'il en soit, cette lune, là-haut, m'effraie. Il y a des jours où elle est sacerdotale. Il me semble qu'elle pourrait, un jour, n'importe quel jour, me rendre visite, sous la forme d'un garçon. Les dieux et les étoiles ont tous pris leur envol. Quelqu'un croit-il vraiment qu'il subsiste ici quelque chose? Toi aussi, tu t'en vas, j'imagine, n'est-ce pas? Déjà?

Entretenir le feu, c'est, pour Max Alhau, convoquer les faits importants du passé, se rappeler les visages absents, «revenir vers les lieux clairs de notre enfance », «[veiller] sur la cendre/ qui épouse le feu». Il faut «faire face», écrit-il, «à tout ce qui brûle la mémoire», résister à l'oubli qui s'installe insidieusement en nous. Pour le poète, ce sont «les mots/ consignés au plus secret du silence» qui ont ce pouvoir. Max Alhau est né à Paris. Poète, il a publié une vingtaine de livres, il est aussi nouvelliste et traducteur de l'espagnol. Il participe activement à la vie poétique.

LE LIVRE La vie est intraitable. On se cogne aux barreaux de la réalité. On circule dans un monde instable et menaçant. On croise des personnages hostiles. On affronte des péripéties tour à tour burlesques et brutales. L'amour lui-même n'est pas une sinécure. Les rêves se désagrègent. On se réveille avec la gueule de bois. On se défait en mille morceaux. Mais on rassemble ses abattis pour tenir vaille que vaille dans un pays pourtant phénoménal. Pascal Leclercq pratique l'humour noir comme une forme de survie et le poème en prose comme un sport de combat. L'AUTEUR Né en 1975, Pascal Leclercq a publié des romans et une dizaine de recueils de poésie, souvent fruits d'une collaboration avec des peintres, des musiciens ou des architectes. Il coanime à Liège la revue Boustro. Il a traduit de l'italien le poète Andrea Inglese et le romancier Alessandro De Roma.

Recueil de poèmes sur l'étonnement, le bonheur et l'angoisse d'être au monde, la filiation, la mémoire ainsi que la beauté des femmes. ©Electre 2018

A l'occasion d'un voyage en Espagne, le poète et essayiste belge évoque la situation politique du pays, l'architecture et la culture. Il se remémore des souvenirs d'enfance et d'adolescence et aborde son oeuvre et son travail d'écrivain. ©Electre 2019