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Anora

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Auteurs
Date parution pério
2024-10-01
Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité. À chaque révision comme à chaque scène, chaque réplique, chaque changement d'axe sur le visage d'Anora (Mikey Madison), le film change. Tantôt trivial, hilarant et chaotique (à force de cris), il est aussi la somme de ses contraires :grave, mélancolique et d'une rigueur absolue.
Numéros de page :
pp.36-37

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Auteurs
Date parution pério
2024-10-01
Retour à New York, boucle bouclée : parti du Manhattan des "underdogs" où il s'était fait connaître en y situant "Take Out" et "Prince of Broadway" dans les années 2000, Sean Baker a cartographié les non-lieux d'Amérique où s'échouent tous les rêves de réussite dorée - la lumière est d'or, d'ailleurs, du Los Angeles de "Tangerine" au Texas de "Red Rocket". "Anora" revient donc à la case départ, maintenant que ce territoire est balisé.
Numéros de page :
pp.20-24

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Auteurs
Date parution pério
2024-10-24
Son "Anora", comédie débridée sur une strip-teaseuse new-yorkaise en vadrouille avec le fils d'un oligarque russe, lui a valu la palme d'or à Cannes. Rencontre avec un cinéaste inspiré par les éclopés de l'American Dream
Numéros de page :
pp.66-67

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Date parution pério
2024-11-01
La palme d'or de cette année 2024 est une grande palme d'or. Sean Baker avec "Anora" signe un grand film sur le sexe.
Numéros de page :
pp.112-113

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Date parution pério
2024-10-31
Palme d’or au dernier Festival de Cannes, "Anora" est en salle. Le film de l’Américain Sean Baker narre la rencontre d’une strip-teaseuse au caractère bien trempé avec le fils fantasque d’un oligarque russe. Il a séduit cette critique new-yorkaise.
Numéros de page :
p.52