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Baker, Sean (1971-....)

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Un prix d'interprétation volatil, une rappeuse hors normes, des fans lo-fi des Power Rangers... Les visages de La deuxième semaine de Festival : Joaquin Phoenix, Danielle Macdonald, Karim Moussaoui, Léonor Serraille & Laetitia Dosch, Vincent Macaigne, Jonathan Vinel & Caroline Poggi, Sean Baker, Elle Fanning, Thierry de Peretti, Chloé Zhao, Eric Caravaca, Josh & Benny Safdie.
Numéros de page :
pp.48-57

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Cinéaste des freaks et des "chiens errants" vagabondant sur les bas-côtés du rêve américain, Sean Baker a posé sa caméra en Floride pour y raconter l'existence d'une communauté white trash paupérisée. Remarqué à Cannes, "Florida Project" est un uppercut porté à la face d'une Amérique aveuglée et malade. Celle de Trump.
Numéros de page :
pp.42-45

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Il se définit comme un dinosaure à la croisée des chemins. Comprendre : un obsédé de la pellicule mais aussi un ardent défenseur du numérique. Toujours aussi fasciné par les marges, Sean Baker revient avec le vibrionnant "Red Rocket". Au programme du jour : le Texas, les mutations du porno, sa passion pour les couleurs pop et le patron John Waters...
Numéros de page :
pp.44-47

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Date parution pério
2017-12-01
Filmer les oubliés de la réussite américaine, les sans-abris, et plus précisément une jeune mère célibataire et sa petite fille dans un motel servant ,lieu de foyer, à deux pas de la féérie commerciale de Disney, tout en mélangeant habitants du cru avec une star comme Willem Dafoe : le projet atypique d'un jeune cinéaste qui ne l'est pas moins. En seulement deux longs métrages, dont le premier, "Tangerine", tourné avec un iPhone, Sean Baker a réussi à percer dans un cinéma américain de plus en plus verrouillé, surtout pour un jeune réalisateur se voulant à la fois indépendant et engagé.
Numéros de page :
pp.158-163

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Date parution pério
2024-10-01
Retour à New York, boucle bouclée : parti du Manhattan des "underdogs" où il s'était fait connaître en y situant "Take Out" et "Prince of Broadway" dans les années 2000, Sean Baker a cartographié les non-lieux d'Amérique où s'échouent tous les rêves de réussite dorée - la lumière est d'or, d'ailleurs, du Los Angeles de "Tangerine" au Texas de "Red Rocket". "Anora" revient donc à la case départ, maintenant que ce territoire est balisé.
Numéros de page :
pp.20-24

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Date parution pério
2024-10-01
Comme son héroïne éponyme, le dernier film de Sean Baker intrigue, convainc et charme par sa fougue juvénile, son culot irrespectueux, et surtout par sa versatilité. À chaque révision comme à chaque scène, chaque réplique, chaque changement d'axe sur le visage d'Anora (Mikey Madison), le film change. Tantôt trivial, hilarant et chaotique (à force de cris), il est aussi la somme de ses contraires :grave, mélancolique et d'une rigueur absolue.
Numéros de page :
pp.36-37