Au Grand Palais, avec une sélection rigoureuse et un accrochage subtil, l'exposition "Italia Nova" éclaire les mutations rapides de l'art italien des années 1900-1950.

A travers 120 oeuvres, le Grand Palais propose une lecture studieuse de cinquante ans de création artistique en Italie, du futurisme au fascisme, du calme de Morandi au nihilisme de Manzoni.

L'exposition organisée par l'Institut du monde arabe et The Metropolitan Museum of Art, New York, témoigne de l'échange et de la transmission des savoirs et des techniques et du va-et-vient constant entre ces deux civilisations, l'Orient et Venise, entre les IXe et le XVIIIe siècle.

De la fièvre futuriste aux visions silencieuses de Morandi et de Chirico, le Grand Palais expose cinquante ans d'un art italien pris dans la tourmente de ses contradictions et de ses idéologies.

Célèbre pour ses artistes du Trecento, Sienne est aussi une ville de la Renaissance, dont les chefs-d'oeuvre sont actuellement présentés à Londres. Retour dans la petite cité toscane, au temps de Beccafumi et de Sodoma.

Quelle est la valeur d'usage des différents écrits de voyage en Italie ? Certains se destinaient à la publication, d,autres relèvent des écrits intimes (journaux, lettres), d'autres encore notent des choses vues et des réflexions pour des romans à venir. La plupart furent rédigés au jour le jour. On peut voyager dans une Italie romantique ou romanesque (Maurice Barrès a ainsi voyagé sur les traces de Fabrice del Dongo). Sommaire. Entretien avec Yves Hersant. Stendhal et son "syndrome". Pour le plaisir : promenades italiennes, entretien avec Jean-Louis Poirier.