[...] Olivier Assayas raconte son film, ses accélérations et ses rythmes habités par la musique, la modernité, le romanesque, la "beat generation"... et une certaine idée du cinéma français.

"L'Eau froide", le nouveau film d'Olivier sort cette semaine. En même temps que "Dans sa peau", le roman de Michka. Deux approches raffinées et dissonantes d'un univers parallèle : l'adolescence.

Le prix d'interprétation attribué à Cannes à Maggie Cheung pour sa remarquable prestation dans "Clean" offrira logiquement une aura toute particulière au film d'Olivier Assayas, incontestablement l'un des plus aboutis du cinéaste.

Pour la première fois, Olivier Assayas adapte un chef d'oeuvre de la littérature "Les Destinées sentimentales" de Jacques Chardonne et plonge dans le passé. Une épopée sentimentale sur trente ans, dont Emmanuelle Béart et Charles Berling sont les héros et que l'on pourrait retrouver à Cannes.

Avec "Demonlover", le réalisateur français signe un thriller high-tech sur fond d'espionnage, mangas et vidéos porno.

A l'occasion de la sortie de "Boarding Gate", thriller entre Londres et Hong Kong qui met en scène la sulfureuse Asia Argento, le réalisateur de "Clean" détaille les raisons de sa passion pour le cinéma.

En portant à l'écran "Les Destinées sentimentales", de Jacques Chardonne, Olivier Assayas semble tourner le dos à son image de cinéaste difficile et intello.

L'adaptation littéraire, dernier refuge des jeunes cinéastes français ? Olivier Assays porte à l'écran "Les Destinées sentimentales", le roman de Jacques Chardonne.

L'héroïne de "Ma Loute" raconte son travail avec les cinq cinéastes qui l'ont conduite à Cannes : André Téchiné, Abbas Kiarostami, Michael Haneke, Olivier Assayas et cette année, Bruno Dumont.

Arnaud Desplechin et Christophe Honoré signent des mises en scène à la Comédie-Française et au Théâtre de la Colline : les jeunes réalisateurs français se réconcilieraient-ils avec le spectacle vivant ?