Elle tient tête à la Russie, brille par sa combativité et ses capacités d'initiative. Le général Yakovleff, ex-chef de corps du 1er REC (régiment étranger de cavalerie) et ex-membre de l'état-major de l'Otan, analyse les caractéristiques de cette armée Ukrainienne. L'analyse se poursuit par l'article intitulé "Quand le patriotisme fait des miracles".

Depuis le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie le 24 février 2022, les États occidentaux ont affiché un front uni en condamnant Moscou et en apportant une aide militaire, financière et humanitaire à Kyiv, sans toutefois participer directement au conflit. Si les États-Unis sont le premier fournisseur, rapportés à leur PIB, après un an de guerre, les plus gros contributeurs sont les voisins européens des Ukrainiens.

Et si l’Ukraine, aidée par les nouveaux armements occidentaux, réussissait à reprendre la Crimée ? L’Ukraine doit maintenant faire face à un casse-tête supplémentaire : gérer une variété déconcertante d’armements.

Le coût très élevé du conflit ne semble pas ralentir le gouvernement israélien dans son entreprise de destruction de la bande de Gaza. Détails. Quelques données chiffrées.

Alors qu'Emmanuel Macron a créé la polémique en évoquant un éventuel envoi de troupes en Ukraine, la participation réelle de la France à l'effort de guerre continue de faire débat.

Les rumeurs sur l’échec de la vente d’avions de combat russes à l’Iran semblent confirmer que l’alliance serait en train de se fissurer.

Confrontés à la réalité géopolitique – défaite possible de Moscou, dépendance aux approvisionnements russes, chantage aux vagues migratoires... –, les pays occidentaux hésitent à aider davantage l’Ukraine, selon cet analyste tchèque.

Le chef du Kremlin menace les Occidentaux d'un "conflit à caractère mondial". Les récents échanges de missiles longue portée entre la Russie et l'Ukraine sont-ils des coups de semonce ou la nouvelle phase d'une guerre en train de se globaliser ? Réponses de diplomates, d'essayistes, d'un historien et d'un militaire. L'article se conclut par l'interview du Général Christophe Gomart qui déclare : "Il faut une Otan dirigées par les Européens seuls".