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Bellocchio, Marco (1939-....) -- Entretiens

Article

Auteurs
Marco Bellocchio condamne le mariage et célèbre l'amour.
Numéros de page :
4 p. / p. 90-93

Article

Auteurs
Aubel, Damien Auteur du texte
Dans Vincere, Marco Bellocchio dévoile un épisode obscur de la vie de Mussolini. Un film onirique sur la révolution et l'obsession amoureuse.
Numéros de page :
6 p. / p. 64-69

Article

Depuis La Nourrice(1999) et Le Sourire de ma mère(2002), méditations sur l'enfermement familial, Bellocchio a affirmé un sens nouveau du récit maîtrisé dans toutes ses dimensions. Attentif à l'histoire récente avec Buongiorno, notte(2003), où il évoquait l'enlèvement d'Aldo Moro, et après l'élégie du metteur en scène de mariages (2006), il se plonge avec Vincere dans le passé proche de l'Italie : l'époque fasciste.
Numéros de page :
9 p. / p. 6-14

Article

Habitué à mettre en oeuvre les marges du politique, les paradoxes de l'histoire, les personnages dont le désarroi touche aux aspects les plus graves de la condition humaine, Marco Bellocchio s'intéresse cette fois à un fait qui souleva en Italie de longues polémiques. La projection à Venise suscita dans la presse du pays un contresens presque unanime, qui contribua sans doute à exclure son film du palmarès. Proclamons-le donc en vain : non ! « La Belle Endormie » n'est pas un film à thèse sur l'euthanasie ou, comme disent les plus chafouins, la fin de vie.
Numéros de page :
6 p. / p. 6-11

Article

Film après film, Marco Bellocchio poursuit une carrière en perpétuel renouvellement. Alternant oeuvres ambitieuses, qui puisent dans les traumatismes du passé ou dans les interrogations contemporaines ("Vincere", "Bella addormentala"), et entreprises plus intimistes qui tournent autour de questions privées ("Sorelle", "Sorelle mal"), il réalise aujourd'hui une sorte de synthèse avec "Sangue del mio sangue", joignant le passé au présent, le général à l'intime.
Numéros de page :
8 p. / p. 26-33

Article

Né au cinéma avec "Les Poings dans les poches" en 1965, Marco Bellocchio, passé par le maoïsme et la psychanalyse, a offert un miroir à sa génération. "Le Sourire de ma mère", son dernier film, reflète une maturité sereine.
Numéros de page :
/ p. 58-66

Article

Auteurs
L'enfermement, la liberté, le rêve... Dans "Buongiorno, Notte", Marco Bellocchio évoque Aldo Moro et les brigades rouges. Ou comment l'histoire récente devient affaire de cinéma.
Numéros de page :
1 p. / p. 42

Article

Auteurs
Renzi, Eugenio Auteur du texte
Vincere s'inspire d'un épisode de l'histoire du fascisme et de son chef. Encore socialiste, le jeune Mussolini se lie à Ida Dalser, avec qui il a un enfant et qu'il répudie quand, devenu leader belliciste, il épouse Rachele Guidi. L'ancienne relation gêne sa carrière, il fait enfermer Ida et leur fils Albino dans un hôpital psychiatrique.
Numéros de page :
2 p. / p. 14-15

Article

Le retour de Marco Bellocchio sur le devant de la scène internationale avec "Le Sourire de ma mère", c'est l'un des événements majeurs du dernier festival de Cannes.
Numéros de page :
/ p. 20-28

Article

Sans "Buongiorno, notte", loin de toute reconstruction "fidèle aux événements", Marco Bellocchio mélange fiction, documents télé, extraits soviétiques, choeurs partisans, ainsi qu'un fleuve de souvenirs personnels.
Numéros de page :
8 p. / p. 4-11

Article

Avec "Buongiorno, notte", le réalisateur Marco Bellocchio revient sur un épisode épouvantable de l'histoire italienne : l'enlèvement puis l'assassinat du président de la Démocratie-chrétienne par les Brigades rouges en 1978. Une plongée dans la folie du fanatisme.
Numéros de page :
3 p. / p. 100-102