Président du directoire de la BVG, il hérite d'un imposant cahier des charges : faire passer la place financière à la vitesse supérieure, tant au plan national que régional.

La Directrice générale de la Bourse de Casablanca arrive 29e au palmarès des 100 dirigeantes les plus influentes du monde. Et première Africaine... sur deux

Avant la fin de l'année, l'ONA et la SNI fusionneront pour constituer un holding d'investissement non coté. Objectifs : redynamiser la Bourse de Casablanca et investir dans les marchés d'avenir.

Après deux années noires, la deuxième Place d'Afrique du Nord renoue avec la croissance. Un rebond fragile. Sa consolidation repose sur d'importants projets de cotations et sur le retour des investisseurs étrangers.

En baisse de 11% depuis le début de l'année 2011, le marché local souffre également d'une diminution de moitié des capitaux échangés. Du fait du contexte politique régional, mais aussi parce qu'il reste trop cher.

Entre fin novembre et fin décembre 2011, la place marocaine aura connu trois introductions. Une fin d'année honorable, qui ne masque pas la forte baisse des volumes échangés.

Les dernières introductions sur les marchés actions de Casablanca, Tunis ou Abidjan n'ont pas tenu leurs promesses. La surévaluation des sociétés cotées est en partie responsable de ces déconvenues.

Ce n'était plus arrivé depuis deux ans : une nouvelle société, Jorf Lasfar Energy Company, s'inscrit à la cote. Cette opération permettra-t-elle à la place marocaine de sortir de sa torpeur ?

Lancé en 2008, l'ambitieux projet qui doit faire du Maroc un hub pour les flux internationaux en direction de l'Afrique a pris du retard. Quels sont les points de blocage ?