Les crypto-monnaies font l'objet d'une véritable frénésie en 2017. Il s’agit d’une forme de monnaie (le Bitcoin et Ether en sont des exemples) utilisée dans des transactions enregistrées dans un registre comptable numérique, distribué et public, appelé blockchain. Preuve de ce succès, les ICO (initial coin offering) se développent. Il s'agit d'une technique pour lever des fonds pour un projet rédigé dans un contrat et hébergé sur une blockchain. Pour investir, les parieurs utilisent des crypto-monnaies pour acheter des jetons, qui deviennent ensuite la monnaie effective du nouveau projet.

Les voyants sont au rouge, fin 2017, dans le domaine des initial coin offerings (ICO), une forme de crowdfunding dans laquelle les entreprises émettent des jetons ou des tokens numériques en échange d'un paiement. Les ICO ont levé plus de 3,2 milliards de dollars en 2017. Un volume qui laisse à penser qu'il y a une bulle sur les ICO. Toutefois, elles portent peut-être en elle le germe de quelque chose de plus grand : elles peuvent offrir une source de financement pour des projets numériques sérieux et peuvent donner naissance à de nouveaux modèles d'entreprises. Explications. Peu de chiffres.

La faillite de la banque américaine Lehman Brothers, en septembre 2008, a entraîné l'éclatement d'une bulle financière aux proportions historiques. Depuis, les Etats ont mis en place des mesures pour tenter un nouveau dérapage financier. Les points détaillés : les crises se suivent et se ressemblent, mais comment naît et grandit une bulle financière ?

L'envol des prix du mètre carré depuis une vingtaine d'années et la hausse récente des taux de crédit ferment la porte aux classes moyennes. Pour les mieux lotis, accéder à la propriété entraîne des remboursements mensuels réduisant leur pouvoir d'achat. Un retour à des niveaux de transaction plus décents serait souhaitable pour les Français comme pour l'économie du pays. Sommaire. Pourquoi la baisse aura du bon. Faire dégonfler la bulle, oui, mais comment ? Déjà en 1992, quand la pierre tombait. A Mâcon : "Je ne suis pas millionnaire. J'ai 25 ans et je n'ai pas envie de me priver".

Les cours des actions s’envolent et les investisseurs sont ravis, mais pas rassurés pour autant. Données chiffrées. Article extrait de "The Economist".