Certains profitent d'un séjour aux Etats-Unis, d'autres sont passés par un touropérateur : la campagne présidentielle américaine suscite un tourisme d'un nouveau genre. Souvent venus d'Europe, ces drôles de vacanciers plongent le temps d'une primaire dans la politique made in US. Au programme : meetings, porte-à-porte et selfies avec les candidats.

Le président américain hystérise le débat politique pour surmobiliser sa base électorale derrière la défense de la blanchitude, juge Guillaume Debré, auteur de Je twitte donc je suis. Car il sait qu’il ne peut pas rassembler une majorité d’Américains.

L'importance du nom. Alors que Donald Trump vient de lancer sa campagne de réélection pour 2020, celle du Parti Démocrate bat son plein. Pas moins de 24 candidats sont actuellement en lice pour briguer l'investiture. Et, s'il y a bien un point sur lequel ils divergent, c'est leur manière de se présenter auprès du grand public. Décryptage du marketing politique de ces différents candidats.

La candidate à l'investiture démocrate Elizabeth Warren s'est fait un nom en critiquant Wall Street. Ses propositions économiques peuvent-elles la distinguer de ses rivaux dans les élections primaires ?

Alors qu'Hillary Clinton (Parti démocrate) et Donald Trump (candidat républicain) étaient au coude-à-coude avant les conventions de leurs partis en juillet 2016, l'écart continue à se creuser. Que s'est-il passé ?

Esprit de croisade, retour en force des valeurs traditionnelles, remise en cause des programmes sociaux, extrémisme religieux... Les conservateurs règnent sans partage sur l'Amérique. Pour comprendre la politique de l'équipe Bush, ce dossier remonte aux sources. Au moment où s'ouvre la campagne électorale aux Etats-Unis.

Pour battre le président sortant, ils organisent des concerts, lèvent des millions de dollars et alertent des milliers d'activistes par internet. Ils ont dopé la campagne de John Kerry

Alors que les pronostics restent extrêmement serrés, où en sont les candidats, quels sont leurs atouts et leurs faiblesses dans la dernière ligne droite ?

Un des statèges de son équipe l'avoue aujourd'hui : "En juillet 2004, nous croyions que c'était fichu". Et pourtant, malgré le désastre irakien, malgré les déficits abyssaux et la casse sociale, Bush a retourné la situation.

Aux Etats-Unis, la peine de mort est l'invitée surprise de la campagne électorale. Mais il ne faut pas rêver. 73 % des Américains soutiennent, en dépit de toutes les révélations sur l'accumulation des erreurs judiciaires, la politique antiabolitionniste.