Nouveau venu dans l'arène politique, il bouscule les partis traditionnels. Portrait d'un torero réformiste.

Quels que soient les résultats du scrutin du 20 décembre 2015, le catalan anti-indépendantiste Albert Rivera s'installe dans le paysage politique.

Réforme du travail, Europe, Podemos... les vérités de l'économiste espagnol, tête pensante du mouvement réformateur Ciudadanos.

Aux dernières législatives espagnoles, en décembre 2015, deux jeunes formations, Podemos et Ciudadanos ("Nous pouvons" et "Citoyens"), ont raflé plus du tiers des voix et mis à bas trois décennies de bipartisme. Que sont ces partis ? D'où viennent-ils ? Quelle est leur matrice idéologique ? "Marianne" les passe au banc d'essai.

Le leader de Ciudadanos, le parti espagnol de centre-droit, dépasse désormais le Premier ministre, Mariano Rajoy, dans les sondages. Pour combien de temps ?

Le Parti populaire (PP) et Ciudadanos négocient un accord pour un vote d'investiture fixé au 30 août 2016. D'après cet éditorialiste, l'épuisement des Espagnols semble le seul argument qui légitime Mariano Rajoy.

L'ancien Premier ministre, candidat à la mairie de Barcelone, sa ville natale ? Il en rêve. Mais, sur place, c'est une autre histoire. Reportage.

A quelques jours du scrutin du 20 décembre 2015, Albert Rivera, le leader du jeune parti centriste Ciudadanos, bouleverse l'échiquier politique. Roi du marketing pour les uns, messie pour d'autres, il pourrait bien provoquer la surprise...