Comme l'ombre qui s'en va
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Auteurs
Pujas, Sophie Auteur du texte
Bulletin : Le Point 2293 - août 2016
A Lisbonne, l'écrivain espagnol revient sur les traces de deux solitaires : l'assassin de Martin Luther King et lui-même, alors qu'il était jeune romancier.
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Numéros de page :
2 p. / p. 74-75
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Auteurs
Bergen, Véronique Auteur du texte
Bulletin : Art press 440 - janvier 2017
Auteur de "Beatus IIIe" (1989) ou de "Pleine Lune" (1998), l'Espagnol Antonio Murioz Molina croise dans son dernier roman son propre passé et la cavale de l'assassin de Martin Luther King.
Article
Auteurs
Cremades, Jacinta Auteur du texte
Bulletin : Magazine littéraire 572 - octobre 2016
L'auteur andalou revient à Lisbonne sur les traces du meurtrier de Martin Luther King. Véritable moteur narratif du livre, la Ville blanche déploie ses zones grises, entre fiction et réalité, où se croisent souvenirs de l'écrivain et obsessions de l'assassin, avant que leurs identités ne se brouillent.
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Numéros de page :
2 p. / p. 58-59
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Auteurs
Singer, Ariane Auteur du texte
Bulletin : Transfuge 102 - octobre 2016
Une légende moderne de Lisbonne racontée par le plus postmoderne des Espagnols, c'est « Comme l'ombre qui s'en va », d'Antonio Munoz Molina.
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Auteurs
Elkaïm, Kerenn Auteur du texte
Bulletin : Livres hebdo 1091 - juin 2016
Antonio Munoz Molina décrit la schizophrénie d'un écrivain, saisissant ses démons et ceux de l'assassin de Martin Luther King.
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Auteurs
Jacob, Didier Auteur du texte
Bulletin : <>Obs 2706 - septembre 2016
Date parution pério
2016-09-15
L'Espagnol Antonio Munoz Molina a suivi à la trace le criminel James Earl Ray et raconte sa cavale secrète à Lisbonne, juste après avoir commis son meurtre, en 1968. Entretien.
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Numéros de page :
3 p. / p. 97-99