Le grand romancier espagnol revit sa jeunesse andalouse. Et ces jours inoubliables où l'homme a marché sur la Lune...

Antonio Mufioz Molina est l'un des grands de la littérature espagnole. Il le prouve une nouvelle fois avec un roman débarrassé de tous les clichés sur la guerre civile. Ou la fuite d'un exilé loin d'un pays qui immole ses enfants et ses idéaux.

A travers l'histoire d'amour entre un architecte espagnol et une femme Américaine, Antonio Munoz Molina signe le grand roman de la guerre d'Espagne. Un grand portrait du désastre.

Antonio Munoz Molina mêle politique et sentiments avec ″Dans la grande nuit des temps″. Une plongée virtuose dans l'Espagne des années 30 et une histoire d'amour flamboyante.

A Lisbonne, l'écrivain espagnol revient sur les traces de deux solitaires : l'assassin de Martin Luther King et lui-même, alors qu'il était jeune romancier.

Auteur de "Beatus IIIe" (1989) ou de "Pleine Lune" (1998), l'Espagnol Antonio Murioz Molina croise dans son dernier roman son propre passé et la cavale de l'assassin de Martin Luther King.

L'auteur andalou revient à Lisbonne sur les traces du meurtrier de Martin Luther King. Véritable moteur narratif du livre, la Ville blanche déploie ses zones grises, entre fiction et réalité, où se croisent souvenirs de l'écrivain et obsessions de l'assassin, avant que leurs identités ne se brouillent.

Une légende moderne de Lisbonne racontée par le plus postmoderne des Espagnols, c'est « Comme l'ombre qui s'en va », d'Antonio Munoz Molina.

"Je ne me souviens que de l'émotion des choses", écrivait Antonio Machado cité en exergue du "Vent de la lune", le nouveau roman d'Antonio Munoz Molina. Dans la mémoire du narrateur, adolescent au moment des faits, les premiers pas des hommes sur la lune, le 20 juillet 69, reste un de ces moments qui transforme une vie en profondeur, et qui donne envie de changer de dimension.