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Conditions sociales -- Liban

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Auteurs
Durant l'été 2015, à l'occasion de la "crise des déchets" dans la capitale libanaise, le mouvement "Vous puez" ("Tal'at Rihaktum") organise des manifestations, qui deviennent massives après la diffusion de vidéos montrant la brutalité des forces de police, pour réclamer une amélioration des services publics (notamment sur les questions de logement, de santé et de distribution d'électricité) et dénoncer la corruption des gouvernants et des partis politiques confessionnels...
Numéros de page :
pp.13-17

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Bulletin : Études mai 2021
Un an après l’effondrement du système économique et politique qui a ravagé le Liban, le pays semble être parvenu à la fin d’un cycle historique. Il est temps d’analyser les maux qui ravagent la société : le confessionnalisme, l’hypertrophie du système bancaire, la corruption. La société civile – la jeunesse en particulier – exprime des attentes qui doivent être prises en compte. Les chrétiens pourraient jouer un rôle constructif.
Numéros de page :
pp.7-17

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Bulletin : Politis 1668
Déjà exsangue, le pays du Cèdre fait face depuis quelques semaines à un effondrement accéléré. Plongée dans le noir, immobilisée ou affamée, sa population est à bout de souffle et envisage le pire.
Numéros de page :
pp.6-8

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Deux ans après l’explosion du port de Beyrouth, qui a fait 224 morts et plus de 6 500 blessés, l’enquête est au point mort. La faute au pouvoir politique, qui a tout fait pour entraver la marche de la justice, estime la presse libanaise.
Numéros de page :
p.21

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Bulletin : Marianne
Deux ans après l'explosion du port de Beyrouth, qui a fait au moins 215 morts et des milliers de blessés, un incendie a provoqué l'effondrement de silos à grains. A l'image du port, le pays prend feu de partout. L'eau, le pain, l'essence, l'électricité, tous les produits de première nécessité sont devenus une denrée rare pour des Libanais à bout de souffle.
Numéros de page :
pp.20-23

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Shaden Fakih, Nour Hajjar, Dany Abou Jaoude... une génération montante de stand-upeurs libanais apporte chaque soir un peu de légèreté dans un pays rongé par les tragédies, où le temps s'est arrêté en aout 2020 avec la double explosion du port de Beyrouth. Corruption, sexualité, ils s'attaquent aux tabous d'une société corsetée, dans la foulée du soulèvement populaire de 2019. Cette forme de thérapie collective séduit désormais un large public, au-delà de la seule jeunesse progressiste.
Numéros de page :
pp.33-37

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Depuis 2008, ce café de Tripoli offre un havre de paix aux minorités. Mais la crise et les esprits étroits le rattrapent : son histoire mouvementée est aussi celle de la plus pauvre des grandes villes libanaises.
Numéros de page :
pp.28-29

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A Beyrouth, la scène du Métro Al-Madina permet aux Libanais de se divertir un peu malgré la déliquescence du pays. Une leçon de courage et de partage.
Numéros de page :
p.30

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Bulletin : L'Express
La révolution d'octobre avait suscité l'espoir des Libanais. Quatre mois plus tard, étranglés par une crise économique sans précédent, ils déchantent.
Numéros de page :
pp.48-49

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Bulletin : L'Express
L'explosion qui a ravagé une grande partie de la capitale achève de ruiner un pays qui s'enfonçait depuis des mois dans une terrible crise. La population peine à garder l'espoir.
Numéros de page :
pp.47-48

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Explosion du port de Beyrouth, tremblements de terre, crise économique... Au Liban, les traumatismes s'enchaînent et ravivent le souvenir de la guerre. En quelques années, la santé mentale est devenue une urgence nationale à laquelle l'État, défaillant, est pourtant bien incapable de répondre. À mesure que le tabou se brise, les associations et les citoyen· nes s'organisent.
Numéros de page :
pp.42-50

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Bulletin : L' Obs juin 2021
Beyrouth était la capitale moyen-orientale de la dolce vita, le creuset d'un vibrant mouvement civique. Jusqu'à ce que la corruption de ses élites politiques plongent le pays dans la misère et le désespoir.
Numéros de page :
pp.56-61