Coppola, Sofia (1971-....) -- Entretiens
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Auteurs
Bulletin : Les Inrockuptibles 544 - mai 2006
"Marie-Antoinette, ce n'est pas moi", dit Sofia Coppola, auteur du film le plus attendu du Festival de Cannes. C'est en tout cas son troisième portrait féminin, après "Virgin Suicides" et "Lost in Translation".
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Auteurs
Cohen, Clélia Auteur du texte
Bulletin : Les Inrockuptibles 788 - janvier 2011
Stephen Dorff a été jeune premier plein d'avenir puis has been prématuré. Dans ℗ Somewhere ®, Sofia Coppola le tire de l'oubli pour lui faire interpréter l'émouvante partition d'un acteur en crise.
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Numéros de page :
6 p. / p. 38-43
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Auteurs
Barnett, Emily Auteur du texte
Bulletin : Les Inrockuptibles 914 - juin 2013
Après le contemplatif « Somewhere », Sofia Coppola narre à un rythme effréné l'histoire d'une bande d'ados dévalisant les people de Beverly Hills dans « The Bling Ring », en salle le 12 juin 2013. Rencontre avec une cinéaste qui a ″moins peur″.
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Auteurs
Haas, Christine (19..-....) Intervieweur
Bulletin : Paris match Belgique 486 - décembre 2010
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Auteurs
Fitoussi, Karelle Intervieweur
Bulletin : Paris match Belgique 614 - juin 2013
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Numéros de page :
1 p. / p. 14
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Auteurs
Bulletin : Première 352 - juin 2006
Avec "Marie-Antoinette" , Sofia Coppola clôt sa trilogie sur les jeunes filles fâchées avec l'âge adulte. Pour la première fois en compétition à Cannes, arrivera-t-elle à conquérir le Palais ?
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Numéros de page :
11 p. / p. 76-86
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Auteurs
Samy, Julien Auteur du texte
Bulletin : Première 406-407 - décembre 2010
Après Versailles pour ″Marie-Antoinette″, Sofia Coppola a pris ses quartiers au Chateau Marmont, hôtel mythique de Los Angeles, pour y filmer ″Somewhere″, portrait intimiste d'une star en pleine crise existentielle. Un personnage en forme de cadeau pour Stephen Dorff, it-boy oublié des années 90.
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Numéros de page :
4 p. / p. 118-121
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Auteurs
Bulletin : Positif 544 - juin 2006
Pour son troisième long métrage, Sofia Coppola a relevé le défi d'une production historique dite à costumes (et à relativement gros moyens), tout en restant fidèle à son thème de prédilection : un portrait de "jeune fille soliaire".
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Bulletin : Cahiers du cinéma 612 - mai 2006
La sérieuse invention du point de rencontre entre une reine d'autrefois et l'adolescence d'aujourd'hui.
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Bulletin : Positif 515 - janvier 2004
Après un premier long métrage remarqué, "Virgin Suicides", Sofia Coppola franchit avec éclat l'épreuve du second film. Chouchou du dernier festival de Venise, "Lost in Translation" est une comédie du dépaysement qui tient à la fois de la fable burlesque, de la satire sociale et de la rêverie romanesque.
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Numéros de page :
7 p. / p. 4-12
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Auteurs
Bulletin : Studio magazine 160 - octobre 2000
Chez les Coppola, le talent est héréditaire ! Sofia, la fille du réalisateur d'"Apocalypse Now" signe avec "Virgin Suicides" un premier film troublant sur l'adolescence et la mort.