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Corneau, Alain (1943-2010)

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Auteurs
Clergeat, Romain Auteur du texte
Numéros de page :
8 p. / p. 62-69

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En 1966, Jean-Pierre Melville signait une adaptation magistrale du roman de José Giovanni. Tout en étant fan du film de Melville, Alain Corneau a voulu donner sa propre vision de l'histoire, plus proche du livre. Comparaison.
Numéros de page :
2 p. / p. 114-115

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Auteurs
Cieutat, Michel Auteur du texte
Numéros de page :
1 p. / p. 65

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Deux ans après "Stupeur et tremblements", qui lui valut le césar de la meilleure actrice, Sylvie Testud retrouve Alain Corneau pour "Les Mots bleus". Un film bouleversant qui confirme combien la collaboration entre le cinéaste et l'actrice est fructueuse.
Numéros de page :
3 p. / p. 84-86

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"Les Mots bleus" représente, à ce jour, l'oeuvre la plus intimiste et peut-être la plus poétique d'Alain Corneau. Film sur la filiation entre une mère illettrée et sa fille autiste, cette adaptation du roman "Leur histoire" de Dominique Mainard dépeint, avec sensibilité et profondeur, les paradoxes de l'incommunicabilité et de l'amour parental.
Numéros de page :
7 p. / p. 30-36

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On les appelle cousins, mais aussi tontons : ce sont les indics auxquels, pour travailler, les flics sont liés. Dans un film époustouflant, Alain Corneau nous fait entrer dans la famille.
Numéros de page :
/ p. 122, 124

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Ils avaient 17 ans. Les Américains "occupaient" alors musicalement la France. Le jazz, langage d'une génération, Corneau et Riou l'ont swingué ensemble. Voici l'histoire de ces jeunes gens qui improvisaient leur vie.
Numéros de page :
/ p. 90-91

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Enfant, il a grandi non loin d'une base américaine. Ce qui lui a permis de découvrir le jazz, Jerry Lewis et le chewing-gum. Quarante ans après, le metteur en scène de "Tous les matins du monde" se souvient...
Numéros de page :
/ p. 62-63

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Quelle année ! En février, il triomphait avec "Didier", qu'il a écrit, mis en scène et joué. Le 10 décembre, on va le voir dans "Le Cousin", le film noir d'Alain Corneau, où il impose d'emblée son personnage de flic paumé...
Numéros de page :
pp.70-79