Palais privé et novateur voulu par le Roi-Soleil, Marly a été rasé par les vicissitudes de l'histoire. Mais rien de ce qui touche à ce château n'est classique. Aujourd'hui, pour le faire revivre, historiens et archéologues font parler le site et les archives.

Le président profitera-t-il du remaniement pour faire une révolution de palais ? Dans un livre dont ″L'Express″ publie des extraits, Dominique de Villepin l'accuse de se tromper de gouvernance. Pendant ce temps, ce sont les villepinistes que le chef de l'Etat courtise...

Un Allemand très francophile fait un portrait au vitriol de la France de Louis-Philippe, où « l'intérêt personnel a bâti ses misérables cabanes sur l'emplacement des palais ».

France XVIIe-XVIIIe siècles. Cette princesse du Grand Siècle n'est pas de celles qui vocalisent au balcon ou se baladent en citrouille. Charlotte-Elisabeth de Bavière, alias La Palatine, est caustique, souvent grossière, et ne mâche pas ses mots. Louis XIV lui-même la surnommait "la grande gueule". Surtout, elle est, grâce à son abondante correspondance, un témoin majeur des moeurs de la cour.

Naissances, décès, révélations... La monarchie n'a pas fini de livrer ses secrets.

S'il compte des capitaines d'industrie dans son entourage, le Président est surtout courtisé par de hauts fonctionnaires en attente d'un avenir doré dans le privé.

Parvenu au sommet de l'Etat, il met une distance certaine avec le monde des affaires qu'il a côtoyé. Et ouvre ses portes aux milieux artistiques.

Seuls ceux qui ne le connaissaient pas ont pu s'étonner des dérives quelque peu monarchistes de sa présidence.

Malgré tous ses efforts le Président ne sais pas "faire peuple". Son monde, c'est celui des familles à particule...

L'association des noms Nicolas et Fouquet n'a pas toujours été heureuse ! C'est pourtant au Fouquet's que le Président a fêté son élection avec ses amis "people". Ceux d'hier et d'aujourd'hui.

Le 24 avril 1617, le très puissant, très influent Concino Concini, conseiller et confident de la reine-mère, Marie de Médicis, est tué. Comment a-t-on pu en venir à cette solution extrême ? Pour le savoir, il faut revenir quinze ans en arrière

S'il conteste le pouvoir, Voltaire a toujours cherché à s'attirer les bonnes grâces des aristocrates et des monarques, une attitude digne du parfait courtisan.