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Droit médiéval

Article

Auteurs
Briet, Sylvie Auteur du texte
Au Moyen Age, la justice est imprégnée de religion. A côté des magistrats laïcs, les tribunaux ecclésiastiques appliquent leur propre droit. Il faudra attendre la Révolution pour que l'Eglise soit définitivement écartée du prétoire, au terme de conflits parfois ubuesques.
Numéros de page :
4 p. / p. 26-29

Article

Auteurs
Morel, Henri Auteur du texte
Pendant des siècles, la justice s'est donnée en spectacle. Ecartèlements, bûchers, crucifixions... Des châtiments effroyables aux vertus dissuasives. Sommaire. Du bon usage des supplices. Châtiments: le petit musée des horreurs. Exécuteurs professionnels de père en fils. Sciences et torture, une alliance contre nature.
Numéros de page :
18 p. / p. 52-69

Article

Auteurs
Entre celles qui boulottent les nouveau-nés et celles qui grignotent les récoltes, nos prétendues amies les bêtes défraient la chronique médiévale. A partir du XIIIe siècle, la justice, laïque et ecclésiastique, s'en mêle.
Numéros de page :
4 p. / p. 48-51

Article

Auteurs
Jager, Eric Auteur du texte
Au Moyen Age, cette procédure juridique vise à déterminer le coupable d'un parjure. L'issue de ce combat à mort pour l'un des protagonistes ne peut qu'être conforme au jugement de Dieu.
Numéros de page :
2 p. / p. 46-47

Article

Auteurs
Avignon, Carole Auteur du texte
Date parution pério
2010-07-01
Depuis le XIIe siècle, théologiens et canonistes reconnaissent que seul l'échange de consentements fait le mariage. Ce faisant, même clandestins, ces mariages sont valides, du moment que l'échange de consentements peut être prouvé, et qu'il n'y a pas d'empêchements dirimants entre les époux. Les mariages clandestins sont toutefois moralement condamnés par les docteurs et canoniquement prohibés par les lois de l'Eglise. Les autorités redoutent que la clandestinité ne fragilise les principes de monogamie et d'indissolubilité du mariage chrétien.
Numéros de page :
35 p. / p. 515-549

Article

Auteurs
Date parution pério
2013-10-01
Au cours des deux derniers siècles du Moyen Age, apparaît un genre de documents entièrement nouveau et assez spectaculaire : les vues figurées. Comparables à des vues en perspective cavalière, de plans ou encore de cartes, elles représentent des lieux ou des territoires disputés au cours d'un procès, et sont exhibées afin de mieux définir le droit de chacun. Les fondements juridiques de leur usage sont repérables du côté de la théorie et de la pratique du droit, qui affirment toutes deux l'excellence de la preuve par la vue.
Numéros de page :
27 p. / p. 805-831

Article

Auteurs
Wenz, Romain Auteur du texte
Date parution pério
2014-07-01
Qu'est-ce qu'être armé dans le royaume de France à la fin du Moyen Age ? L'interdiction faite par le roi de "porter les armes" à partir du milieu du XIIIe siècle dans le contexte de l'encadrement des guerres seigneuriales permet d'observer avec précision ce que l'on considère comme "être armé". A partir d'une interdiction générale et absolue reposant en pratique sur le discernement des gens du roi vers 1265, le Parlement établit, à partir de 1311, la catégorie précise des "armes notables et invasibles" qui sont inhabituelles et servent à attaquer.
Numéros de page :
19 p. / p. 547-565

Article

Auteurs
Date parution pério
2011-10-01
La comptabilité du Moyen Age est surtout connue à travers des collections de livres de comptes datant de cette époque, qui, pour la plupart, ont fait l'objet de nombreux commentaires depuis près d'un siècle. A côté de ce corpus documentaire, la riche littérature médiévale d'expression latine contient aussi de très abondantes analyses sur la tenue de ces registres. Les juristes d'alors n'ont pas rédigé de manuel spécifique sur l'art de tenir les livres de comptes ou sur un droit qui leur aurait été particulier.
Numéros de page :
31 p. / p. 781-810