L'annonce a été faite par la ministre de la Mer, Annick Girardin, le 28 novembre 2020 : "En 2050, 25 % de l'électricité française pourrait être produite en mer". Elle succédait à un long débat public sur l'opportunité d'un quatrième parc éolien marin en Normandie. Débat riche en participation, en public diversifié, en argumentations. Débat qui, au-delà des perceptions locales d'un parc éolien, fait surgir l'enjeu fondamental : mettre un terme au réchauffement climatique et à la perte de biodiversité.

Depuis 2019, la terre tremble plus que d'ordinaire en Alsace. Pourquoi ? Tous les yeux se tournent vers la société Fonroche, son forage de Vendenheim et sa technologie qui devait, en théorie, nous libérer des énergies polluantes : la géothermie profonde.

Les années 2008-2017 ont vu l'apparition en France de « zones à défendre », une forme de lutte nouvelle qui renouvelle profondément la scène contestataire, par ses modalités (l'occupation permanente des sites des projets contestés pour empêcher le démarrage des chantiers) et par ses acteurs (des militants altermondialistes).

Elles étaient le symbole d'une France en marche vers la transition écologique. Mais, aujourd'hui, le pays gronde contre les éoliennes, ultrasubventionnées, peu productives et sources de nuisances multiples. Le gouvernement veut pourtant continuer à en construire... Récit d'un étrange entêtement politique. Sommaire. Mais qui fait pousser ces grands mâts ? Pourquoi les pêcheurs bretons s'y opposent. Une énergie pas si bon marché.

Depuis plusieurs années, Eau de Paris a mis en place des dispositifs d'aides agricoles pour limiter les intrants sur son périmètre d'action. Cette politique a pour objectif de réduire l'utilisation des pesticides en favorisant la mise en place d'une agriculture raisonnée ou biologique

En dépit de l'intérêt croissant porté aux énergies marines renouvelables (EMR), les connaissances des effets potentiels sur les milieux naturels et le vivant des éoliennes en mer, hydroliennes et autres dispositifs houlomoteurs, restent très largement lacunaires

Fixer en amont des Jeux un plafond de CO2 est une première, unanimement qualifiée de progrès. Qui reste à vérifier lors du bilan carbone post-événement, dont on perçoit des signes de dérapage. Pour s'aligner plus vite sur l'Accord de Paris, il faudra viser moins haut dans l'ampleur de la manifestation et donc plus fort sur la baisse d'émissions