Moins de trafic de drogue, plus d'arnaques et d'attaques informatiques. Avec la pandémie, la criminalité a changé de visage, révèle le directeur central de la police judiciaire, Jérôme Bonet.

Escroc de haut vol il roulait en Rolls-Royce, brûlait des millions d'euros dans les casinos et invitait des stars internationales à la bar-mitsva de son fils. Tête pensante de la fraude à la taxe carbone, il est désormais mis en examen pour deux meurtres, dont celui de son ex-beau-père. Révélations.

Plutôt que de se faire injecter le vaccin antiCovid, certaines personnes sont prêtes à payer 300 euros afin d'obtenir un QR Code bidon. En ligne ou dans le secret des cabinets médicaux, les trafics sont innombrables.

Le milliardaire russe Dmitri Rybolovlev et le marchand suisse Yves Bouvier se livrent un combat devant les tribunaux du monde entier, depuis 2015. À l'origine, une plainte du premier contre le second, l'accusant de l'avoir escroqué d'un milliard de dollars sur une vente de tableaux. "Beaux Arts" vous raconte les rebondissements de cette affaire hors norme. Un vrai roman noir !

Un promoteur de l'île et un financier luxembourgeois sont soupçonnés d'avoir vendu 11 000 mètres carrés inconstructibles à un oligarque russe. Une opération à 60 millions d'euros.

L'histoire rocambolesque de l'une des plus grosses affaires de délit d'initiés de la place de Paris.

En Colombie, la discipline est en plein boom. Mais les médecins peu scrupuleux y prolifèrent. Et les accidents se multiplient.

Internet est rempli de programmes malveillants se faisant passer pour des humains. Fraudes, escroqueries, harcèlement... se multiplient.

La sphère des monnaies virtuelles n'échappe pas aux escrocs. Des enquêteurs d'un genre nouveau remontent leurs pistes numériques.

Le journaliste a été le témoin de l'ascension, puis de la chute de l'ex-magnat des cryptomonnaies, qu'il narre dans un livre. Entretien.

La diffusion sur Internet de kits d'escroquerie clé en main attire des ados en quête d'argent facile, mais pas toujours au fait des risques encourus.

L’entrepreneur pakistanais Arif Naqvi a créé Abraaj à Dubaï, en 2002, pour gérer 116 millions de dollars appartenant à des investisseurs du Proche-Orient. Seize ans plus tard, un portefeuille de près de 14 milliards de dollars avait hissé le groupe au rang de plus importante société de capital-investissement spécialisée dans les marchés émergents. Puis ce fut la chute.