Diplômée de théologie et mère de trois garçons, l'auteure témoigne de son quotidien de mère de famille, au foyer et heureuse de l'être. Elle explique comment le fait de fonder sa vie sur le Christ permet de mieux vivre sa féminité et s'interroge sur l'harmonisation des exigences d'une vie de femme avec celles d'un épanouissement professionnel et social. ©Electre 2017

La journaliste, baptisée mais éloignée de l'Eglise, revient sur les scandales récents qui ont marqué l'Eglise catholique. Elle milite pour une nouvelle théologie s'appuyant les femmes qui leur serait plus favorable et tiendrait compte de la sexualité humaine.

L. Scaraffi a fondé l'unique journal féminin du Vatican Les femmes, l'Eglise et le monde en 2012. Elle démissionne en 2019, dénonçant l'emprise masculine sur son travail. Elle revient sur ces événements et élargit son propos à la situation des femmes au Vatican où elle estime qu'elles sont déconsidérées. Elle prône une réconciliation en accord avec les fondements du christianisme. ©Electre 2020

Une galerie de portraits de ces femmes qui ont été dans la proximité des papes du XXe siècle, de Pie XI à François. L'auteure met en lumière ces figures inspirantes et écoutées qui témoignent d'un changement du regard sur les femmes dans l'Eglise et qui ont oeuvré dans les coulisses du Vatican non sans être confrontées à des réticences de la part de la Curie romaine. ©Electre 2021

Prêtres, diacres, nonces, évêques… Pourquoi ces fonctions sont-elles réservées aux hommes ? Est-il écrit dans l'Évangile que les femmes ne peuvent être les apôtres du Christ ? Pour répondre à ces questions, Sylvaine Landrivon s'appuie sur plusieurs figures féminines bibliques, dont elle montre l'importance fondamentale dans leur relation avec Jésus : c'est par Marie que le Verbe vient dans le monde et se dévoile à Cana ; ce sont Marthe et Marie de Béthanie qui permettent à Jésus d'anticiper l'exposé de sa mission ; c'est la Magdaléenne qui transmet l'incroyable nouvelle de la résurrection du Christ. Pour Sylvaine Landrivon, il est temps de libérer l'Église d'un cléricalisme qui confisque la Parole : seule une réelle ouverture des charges pastorales, d'enseignement, de gouvernement, fera cesser l'hémorragie de fidèles qui entrave la transmission de l'Évangile. Un manifeste crucial, d'une actualité brûlante. Docteure en théologie, laïque, militante, Sylvaine Landrivon oeuvre par ses travaux et ses engagements associatifs à « déconfisquer » l'interprétation et la transmission de la Parole biblique. Elle est l'autrice de plusieurs livres remarqués, dont Marie-Madeleine, la fin de la nuit, aux Éditions du Cerf.

Le 21 mai 2020, fête de l'Ascension, une femme se porte publiquement candidate à l'archevêché de Lyon, laissé vacant par la démission du cardinal Barbarin dans les conditions que l'on sait. Cette femme s'attend bien sûr à des réactions de soutien comme de réprobation mais pas à la véritable tempête médiatique qui va toucher la France, même non chrétienne, et qui va s'étendre jusqu'au bout du monde en quelques semaines. Que s'est-il donc passé ? Pourquoi ce trouble, pourquoi cet intérêt - et surtout, pourquoi ce geste ? Anne Soupa n'est pas une inconnue dans l'Eglise : depuis plus de trente-cinq ans elle l'a servie comme bibliste, directrice d'une importante revue, écrivain, fondatrice d'associations de laïcs... Forte de cette longue pratique de terrain et de sa culture théologique, elle ne se contente pas ici de raconter le séisme, d'analyser les résistances, de répondre aux objections, mais elle énonce aussi les implications profondes de sa démarche. Et l'on découvre - à l'encontre d'une tradition qui est beaucoup plus complexe que ce qu'en dit le discours officiel - ce que pourrait être une charge d'évêque laïc, largement ouverte aux non-pratiquants, dans une gouvernance de dialogue et de rassemblement recentrée sur l'essentiel de l'Evangile. Plus qu'un recueil de revendications, voici un livre d'Espérance pour tous.

Candidate à l'archevêché de Lyon, l'auteure propose un plaidoyer pour une réforme de l'Eglise quant à la place des femmes en son sein. En se fondant sur les vies de sainte Marie et de sainte Marthe, elle montre que les femmes occupent une place centrale dans la vie du Christ. Que seuls les hommes occupent des fonctions ecclésiologiques dans l'Eglise catholique apparaît ainsi comme une aberration. ©Electre 2022