Lumière, en novembre 2010, sur les atouts de l'affacturage pour les sociétés françaises, qui leur permet de sécuriser le risque client et d'améliorer la gestion de leur trésorerie. Ce procédé simple est également moins risqué que l'escompte et la Loi Dailly. L'affacturage s'adapte particulièrement bien aux sociétés en développement, en France comme à l'étranger, et aux entreprises qui ont un besoin récurent de financement. Il représente néanmoins un coût non négligeable. Détails, avec quelques données chiffrées. Encadré : factoring en Europe, le Royaume-Uni, un marché atypique.

Lumière, début 2011, sur le retour à la croissance du marché de l'affacturage en France (montant des créances en hausse de 21,3% pour s'établir à 109,6 milliards d'euros sur les neuf premiers mois de l'année 2010) et sur l'opportunité que représentent les créateurs d'entreprises pour cette activité. Longtemps cantonné aux entreprises de taille moyenne, l'affacturage représente désormais une forme de financement susceptible de soutenir l'activité des start-up. Une clientèle vers laquelle se tournent les acteurs de l'affacturage.

Eclairage, en avril 2011, sur le confidentiel marché du reverse facturing (affacturage renversé ou supply chain finance) en France. Un secteur qui représente environ 3% de l'affacturage en France et qui a pris en charge, en 2010, 153 milliards d'euros. Un marché qui semble, depuis la crise, et malgré l'aura de confidentialité qui entoure ce secteur, l'objet d'une croissance substantielle.

Le point, en novembre 2011, sur les différents problèmes d'encaissement et de trésorerie que peuvent rencontrer les entreprises en France et qui peuvent être synonymes d'une santé minée par les retards de paiement. Pour éviter ce genre de situation, une société peut mettre en place une organisation à même de réduire ces délais et d'éviter les retards : en anticipant les risques, en externalisant ou en systématisant le recouvrement, en finançant la trésorerie, ou en ayant recours à la procédure judiciaire par exemple. La première des mesures : rationaliser le rapport à l'argent.

Décryptage des contraintes que peut impliquer un excédent de trésorerie pour les entreprises qui, après avoir calculé leurs flux financiers, doivent déterminer si elles placent cette manne à court, moyen ou long terme, et sur quels produits. Si les choix sont nombreux (OPCVM, certificats de dépôts, billet de trésorerie, dépôt à terme ou encore compte à terme), un critère doit primer : la définition du couple rendement/risque. Depuis la crise financière, l'aversion au risque l'emporte largement sur l'espérance de gain.

Croissance continue de l'épargne des entreprises, dans le monde, depuis le début des années 1990. Une situation préoccupante pour l'économie mondiale. Des précisions sur les raisons de cette tendance, et rapides informations sur la France, où le taux d'autofinancement des entreprises non financières est de 85%. Données chiffrées. Graphiques : taux d'épargne des entreprises et des ménages, en % du PIB mondial 1980 - 2013 ; part de l'investissement financée par l'épargne, en France, en %.