Valéry Giscard d'Estaing appelle Nicolas Sarkozy à plus de réserve à l'heure où Paris se prépare à présider l'Union européenne.

Après le non des Irlandais au traité de Lisbonne, le 12 juin 2008, Valéry Giscard d'Estaing propose un plan B pour sauver le chantier institutionnel de l'Union.

Exclusif. Valéry Giscard d'Estaing signe un roman intrigant : La princesse et le président. Confidences.

En exclusivité pour "L'Express", l'ancien président de la République réagit au non grec au référendum du 5 juillet 2015, et analyse la crise traversée par l'Union européenne. Dédramatisant le cas hellénique, il pointe la « défaillance française » dans le couple franco-allemand, critique l'activisme politique de Jean-Claude Juncker et rend hommage à Christine Lagarde.

L'ancien président tacle sévèrement la déliquescence du projet européen. Et propose ses solutions. Entretien.

De la crise grecque aux menaces sur l'euro, en passant par les ratés du moteur franco-allemand, l'ancien président fait le tour d'une Union trop faible à ses yeux.

Dans une interview exclusive, l'ancien président de la République propose la création d'une Agence européenne de la Dette émettant pour le compte des Etats les prêts nécessaires au financement de leur déficit tel qu'il sera inscrit dans les grandes orientations de leur politique économique.

Grand connaisseur de la Chine, l'ancien président de la République s'oppose au directeur du ℗ Monde ®, qui vient de publier ℗ l'Arrogance chinoise″.

Il y a quarante ans, Valéry Giscard d'Estaing s'installait à l'Elysée. Avec lui, la France entrait dans la modernité. Il revient aujourd'hui sur ce septennat marquant.