Hollande, Montebourg, la France, l'euro, Dioclétien et Cameron... L'ultrapopulaire maire de Londres répond sans détour.

De Gaulle eut ses faveurs, Giscard d'Estaing beaucoup moins. Quant à Sarkozy, il n'a pas manqué de la déconcerter. En soixante ans de règne, Elizabeth II fut l'interlocutrice de tous les présidents français depuis Vincent Auriol. A la veille de l'installation d'un nouveau locataire - ou non à l'Elysée, retour sur une relation particulière, entre vrais et faux pas.

De tous les présidents de la Ve République, François Hollande est celui qui aura le plus goûté aux commémorations. Il a pourtant décidé de faire l'impasse, le 1er juillet sur les cérémonies du centenaire de la bataille de la Somme, dont les combats ont été encore plus meurtriers que ceux de Verdun. Il faut dire que ces célébrations arrivent dans un contexte européen extrêmement tendu.

Restera ? Restera pas ? La sortie du royaume ou pas de l'UE n'est que l'ultime épisode de l'histoire compliquée qu'entretient la Grande-Bretagne avec la France et l'Europe.

Aller travailler tous les jours en Angleterre ? Les habitants de la région calaisienne en rêvent. Mais le métro transmanche ne convainc ni la SNCF ni les politiques.