Hamaguchi, Ryusuke (1978-....)
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Auteurs
Elliott, Nicholas null
Bulletin : Cahiers du cinéma 751 - janvier 2019
Après l'éblouissant "Senses", film fleuve où il étirait la durée pour épuiser les situations et aller au plus près de quatre femmes japonaises d'aujourd'hui, Ryusuke Hamaguchi revient avec l'étrange "Asako I & II". Le cinéaste japonais fait ici un pas décisif vers un cinéma plus commercial, ce qui ne rend que plus intriguant ce nouveau portrait de femme : sous ses aspects lisses, alliant idylle de conte de fées et chronique des jours ordinaires, coup de foudre au ralenti et demande en mariage en faisant la vaisselle, Asako I & II laisse entrevoir de profondes failles. Sommaire.
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Numéros de page :
pp.32-35
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Auteurs
Bulletin : Esprit 453 - avril 2019
Dans cette leçon de cinéma, le réalisateur japonais définit le cinéma comme un enregistrement fragmentaire, qui oscille entre document et fiction. Réaliser un film consiste donc à déterminer le format d’un plan (couper), faire naître un récit (monter) et faire apparaître la force intérieure des sujets (écouter).
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Numéros de page :
pp.139-150
Article
Auteurs
Mercier, Frédéric null
Bulletin : Transfuge 125 - janvier 2019
Après le succès de "Senses", Ryusuke Hamaguchi était au dernier festival de Cannes avec "Asako" 1 et 2, subtile romance sur les affres sentimentales d'une adolescente. Rencontre avec un jeune cinéaste qui aime parler encore plus de cinéma que de son film.
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Numéros de page :
pp.64-67
Article
Auteurs
Elliott, Nicholas null
Bulletin : Cahiers du cinéma 744 - mai 2018
Lors de la récente Semaine des Cahiers à l'Institut français de Tokyo, on croisait le réalisateur Ryusuke Hamaguchi, ébloui par la vision consécutive des trois derniers films de Philippe Garre!.
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Numéros de page :
pp.54-55
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Auteurs
Bulletin : <>Avant-scène cinéma 658 - décembre 2018
Date parution pério
2018-12-01
Ryusuke Hamaguchi (40 ans le 16 décembre 2018) est la grande révélation du jeune cinéma japonais. "Senses", son film précédent, avait provoqué l'étonnement et l'admiration. Un film de cinq heures où le temps passait comme dans un rêve et où déjà nous avions remarqué l'influence de John Cassavetes et un style absolument nouveau. Une voix originale, un attachement à la complexité des sentiments, au goût japonais du secret, à une subversion douce des valeurs d'une société en mouvement.
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Numéros de page :
pp.138-143