En décidant la construction du canal de Briare en 1604, le "Bon Roi Henri" veut drainer vers Paris et le nord de la France, la production agricole du pays nantais. Mais ce n'est qu'en 1642, que l'ouvrage sera totalement achevé...

En le convoquant ce 13 septembre à Fontainebleau, le roi sait tout de sa participation au complot ourdi contre lui par l'Espagne et la Savoie. Mais le maréchal, duc et pair du royaume, Charles de Gontaut-Biron va s'enferrer dans son mensonge. Ce qui lui vaudra d'être décapité.

Depuis la Révolution, personne ne savait ce qu'il était advenu du crâne du monarque. Jusqu'à ce que deux journalistes et un médecin légiste résolvent cet incroyable mystère...

Le "Bon Roy Henri" était à peine trépassé sous les coups de Ravaillac que le mythe d'un roi aimant se mit en marche.

Henri IV était-il un bon roi ? Pas facile à dire, quand on n'a pas vécu à son époque... Une chose est sûre, c'est qu'il a reçu le surnom de « bon roi Henri » peu de temps après sa mort et qu'il était fort apprécié de son peuple. Pour toi, Arkéo et Miss'Taupe reviennent sur la vie mouvementée d'Henri, roi de France de 1589 à 1610 !

Considérés comme une anomalie institutionnelle, les maréchaux de France choisis par le duc de Mayenne au temps de la Ligue ont souvent été négligés par l'historiographie. Leur illégalité présumée est soulignée par le fait que nombre d'entre eux se rallièrent à Henri IV, qui les confirma dans leur dignité, faisant d'eux des bâtards légitimés. Cependant, au-delà de ce rejet historiographique du vainqueur, la question des maréchaux de la Ligue aide à mieux connaître les raisons sociales et institutionnelles qui aboutirent à une telle dissidence.

Les reliques peuvent avoir une origine profane, comme cette tête naturellement momifiée, conservée pieusement depuis quatre siècles et identifiée comme étant celle du roi Henri IV. Rencontre avec Philippe Charlier, médecin légiste qui a mené cette recherche insolite.

Paris vaut bien une messe ! C'est ce qu'aurait dit le Béarnais pour justifier son déni de la foi protestante. Avait-il le choix s'il voulait régner sur une France à majorité catholique ?

Il y a quatre cents ans, François Ravaillac, catholique fanatique, assassinait Henri IV, le roi de l'édit de Nantes et de la réconciliation religieuse. Notre chroniqueur François Reynaert mais aussi les anciens ministres Pierre Joxe et François Bayrou expliquent pourquoi sa vie épique et son règne modernisateur demeurent d'une brûlante actualité.