Un Coréen à Paris. Hong Sangsoo déplace son cinéma géographiquement mais conserve sa signature inimitable. Drôle et enchanteur.

Nouvel autoportrait ironique et sensuel du plus introspectif des cinéastes coréens.

En deux films, "Le Jour où le porc est tombé dans le puits" de Hong Sang-Soo" et "Le Pouvoir de la province de Kangwon", Hong Sang-Soo s'est imposé comme un cinéaste de premier ordre, qui au sein du cinéma coréen, navigue un peu à contre-courant d'une vogue asiatique qui croit de plus en plus aux images et au style.

L'hystérie souvent déclenchée par l'alccol, coule à flots chez Hong Sang-Soo. Elle irrigue "Le Pouvoir de la province de Kangwon".

Remarqué par la critique dans de nombreux festivals (Cannes, Rotterdam...), Hong Sang-soo est loin d'être un inconnu. Pourtant, près de huit années séparent la sortie coréenne de son premier film et cette triple sortie française.

Critique du film "Le jour d'après" de Hong Sang-soo, suivie d'une intervieuw du réalisateur et de l'actrice principale, Kim Min-hee.