Face à une hémorragie active, une prise en charge multidisciplinaire dans un parcours de soins cohérent et non hospitalo-centré est essentielle. L'infirmière est un acteur central de la chaîne de soins d'une plaie aiguë ou chronique qui saigne, qu'elle soit en libéral, en réseau plaie et cicatrisation, en équipe préhospitalière ou seule sur protocole, dans un service d'urgence, au bloc opératoire ou en unité conventionnelle.

Son respirateur liquide permettrait d’abaisser rapidement la température corporelle d’un patient après un arrêt cardiaque, avec pour but d’améliorer le taux de survie et de réduire les séquelles. Un premier essai clinique est prévu en 2020.

Deux équipes de recherche indépendantes viennent d'identifier une population de neurones qui, une fois activés, suffisent à plonger des souris en hypothermie profonde, une forme d'hibernation. Un processus qui pourrait être actionné chez l'homme.

Des médecins américains ont testé une nouvelle technique pour des blessés graves : les refroidir à 10 degrés celsius pour gagner du temps et pouvoir les opérer avant que leur cerveau ne s'abîme !

Quand le cerveau manque d'oxygène, par exemple après un arrêt cardiaque, le neurones ne tardent pas à mourir. Diminuer la température corporelle est alors un moyen d'éviter le pire. C'est l'« hypothermie thérapeutique ».