"L'Obs" a demandé à quatre écrivains leurs réactions au lendemain du premier tour de la présidentielle. Sommaire. "Une élection sans Kinder Surprise". "Qu'est-ce qu'on fout là ?". "Il est fragile notre Macron". "Eh bien, nous y voilà !"

Onze ans après le premier volume de ses "Microfictions", Régis Jauffret offre 500 nouvelles histoires courtes, cruelles ou monstrueuses. Sous son terrible scalpel fictionnel : le couple et l'amour.

Régis Jauffret s'interroge sur l'arrestation de son père par la Gestapo et Iegor Gran raconte comment le KGB a traqué le sien, l'écrivain russe Andreï Siniavski. Entretien croisé.

Avec "Microfictions 2022", ce maitre absolu de la forme brève livre pour la troisième fois un pavé de 500 histoires d'une page et demie. Que l'auteur revendique comme un véritable roman à part entière. Doit-on le croire ?

Iegor Gran et Régis Jauffret enquêtent sur leurs "papas". Avec l'humour comme antidote au pathos.

Claire Chazal échange avec Régis Jauffret autour de son livre "Le dernier bain de Gustave Flaubert" paru aux Editions du Seuil.

L'un revient avec une autofiction inquiète sur le transhumanisme, l'autre avec cinq cent "microfictions" grinçantes. Rencontre entre deux romanciers que la folie de notre époque inspire.

Pour produire son oeuvre très diverse, l'écrivain a consacré sa vie à une obsession douloureuse : le style. Pour conclure, "L'Eléphant" ouvre ses colonnes à Régis Jauffret, romancier, auteur du "Dernier Bain de Gustave Flaubert" qui déclare : "Avec 'Madame Bovary', Flaubert choisit un sujet qu'il déteste".