Aller au contenu principal

Joker

Article

Auteurs
"Joker n'est pas le premier film admirable s'emparant librement d'un super-héros de "comic books". "Batman le défi" de Tim Burton (1992) ou "The Dark Knight" de Christopher Nolan (2012), pour ne citer qu'eux, offraient une relecture passionnante de la mythologie de l'homme chauve-souris, en s'appuyant sur la qualité du scénario, la force de la mise en scène et le brio de l'interprétation. Le film de Todd Phillips réunit toutes ces qualités en y ajoutant un principe étonnant, celui de situer toute l'action dans un univers réaliste, sans fond vert ni effets spéciaux numériques.
Numéros de page :
pp.36-37

Article

Auteurs
Bulletin : Première 499
Le monde retenait son souffle en attendant de savoir si Joaquin Phoenix allait oui ou non rejoindre l'industrie des superhéros. Il l'a finalement fait, mais à sa manière : "Joker", récit des origines du méchant le plus cintré de Gotham City, promet de ne pas être un film comme les autres. Sulfureux, agressif et sous haute influence scorsesienne. En exclusivité, Joaquin Phoenix raconte la métamorphose la plus dingo de sa carrière.
Numéros de page :
pp.32-43

Article

Auteurs
Bulletin : Première 500
Todd Phillips raconte les origines du méchant le plus barré de Gotham City. Un immense film politique sous influence scorsesienne assumée, porté par l'interprétation magistrale de Joaquin Phoenix.
Numéros de page :
pp.96-97

Article

Ce long-métrage sorti mercredi 9 octobre 2019 en France est accusé de faire l’apologie de la violence et de présenter l’ennemi de Batman comme un modèle pour les tueurs de masse. Faut-il vraiment avoir peur ? Les avis sont partagés.
Numéros de page :
p.13

Article

Auteurs
Accusé d’exalter la figure du mâle blanc réactionnaire, "Joker" de Todd Phillips fait polémique aux Etats-Unis et rejoint la longue liste des films supposés conduire à la violence. Mais les traits grimaçants de Joaquin Phoenix ne sont-ils pas le reflet d’une réalité occultée ? Sommaire.La Farce cachée de l'Amérique. "Joker", de Todd Phillips. "J'ai un appétit pour les rôles extrêmes".
Numéros de page :
pp.10-19

Article

Date parution pério
2020-04-01
La maladie psychiatrique du Joker n'est pas réaliste. Mais la violence qui l'entoure, si.
Numéros de page :
pp.76-79

Article

Auteurs
Date parution pério
2020-04-01
Le film de Todd Philips explore l’avènement des violences à l’âge des inégalités et l’écrasement de l’individu par le libéralisme économique. Les blessures du personnage reflètent une crise collective.
Numéros de page :
pp.103-109