Kaufmann, Jonas (1969-....)
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Auteurs
Barichella, Monique Auteur du texte
Bulletin : Classica 149 - février 2013
A Milan et Zurich, l'année Wagner a déjà commencé en 2012, avec un ″Lohengrin″ et un ″Vaisseau fantôme″ transcendés respectivement par Jonas Kaufmann et Bryn Terfel. Récits.
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Numéros de page :
1 p. / p. 28
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Auteurs
Rousseau, Jérémie Auteur du texte
Bulletin : Classica 150 - mars 2013
Jonas Kaufmann, ténor à la voix sombre, à la tenue de souffle et à la puissance incroyables, est fêté sur toutes les grandes scènes d'opéra, et pour ne rien gâcher, il a le physique idéal du héros.
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Auteurs
Rousseau, Jérémie Auteur du texte
Bulletin : Classica 176 - octobre 2015
Le grand ténor poursuit son aventure discographique. Dans "sa" nouvelle intégrale d'"Aïda", il réunit tous les superlatifs à travers un Radamès tourmenté et intérieur. Dans son récital "Puccini", il recrée des héros à la mesure de sa voix.
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Numéros de page :
2 p. / p. 82-83
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Auteurs
Giuliani, Emmanuelle Auteur du texte
Bulletin : Études 4221 - novembre 2015
Mais qui est donc ce prodige de l'art vocal ? Né le 10 juillet 1969 à Munich, après une formation et un début de carrière solides et sages, notamment dans la troupe de l'Opéra de Zurich, il explose sur la scène internationale au début des années 2000. Pour les Français, la révélation a lieu sur le plateau de l'Opéra Bastille en 2010 avec un mémorable "Werther" de Jules Massenet. Entouré de magnifiques partenaires, porté par la direction musicale puissante et frémissante de Michel Plasson, le ténor y déployait tous les registres de son art tant musical que dramatique.
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Auteurs
Mahdavi, Mehdi Auteur du texte
Bulletin : Diapason 623 - avril 2014
Jonas Kaufmann chante "Werther", Dmitri Tcherniakov met en scène "Le Prince Igor" : au Metropolitan de New York, il se passe toujours quelque chose comme en témoignent ces deux productions qui ont été retransmises dans les cinémas sur les cinq continents.
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Numéros de page :
3 p. / p. 52-54
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Auteurs
Grosperrin, Jean-Philippe Auteur du texte
Bulletin : Diapason 628. - octobre 2014 octobre 2014
Le cross-over, fierté de Caruso, retrouve ses lettres de noblesse chez les ténors. Hier Joseph Calleja et Piotr Beczala, aujourd'hui Jonas Kaufmann, qui troque l'habit de Parsifal contre le veston des stars de la radio et des écrans germaniques, Richard Tauber, Joseph Schmidt...
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Auteurs
Dupuy, Emmanuel Auteur du texte
Bulletin : Diapason 633 - mars 2015
Emblème du ténor latin André Chénier ? Voire ! A Covent Garden, Jonas Kaufmann ajoute le rôle à son tableau de chasse. Et triomphe. Au côté de partenaires choisis et dans un spectacle signé David McVicar qui fait souffler le grand vent du mélodrame révolutionnaire.
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Numéros de page :
2 p. / p. 56-57
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Auteurs
Dupuy, Emmanuel Auteur du texte
Bulletin : Diapason 639 - octobre 2015
Il n'y a plus de grands chanteurs verdiens : antienne entendue mille fois et que dément avec éclat cette "Aida" en studio. Le duo Anja Harteros-Jonas Kaufmann atteint les plus hautes cimes, guidé par un Pappano qui fait planer sur le péplum égyptien les noirs nuages de la tragédie.
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Numéros de page :
1 p. / p. 95
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Bulletin : Le Nouvel observateur 2298 - novembre 2008
Date parution pério
2008-11-20
Symbole de ces nouveaux ténors moins braillards, plus charmants, ce Bavarois formé par Giorgio Strehler réconcilie l'opéra et le théâtre
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Auteurs
Tubeuf, André Auteur du texte
Bulletin : Classica 159 - février 2014
Date parution pério
2014-02-01
A l'Opéra de Munich, "La Force du destin" de Verdi réunissait le trio vedette Anja Harteros-Jonas Kaufmann-Ludovic Tézier. Mais pourquoi faut-il donc une fois encore que des voix sublimes doivent se déployer dans une mise en scène d'une laideur et d'une platitude absolues ? Pauvres chanteurs...
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Numéros de page :
1 p. / p. 40
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Auteurs
Rousseau, Jérémie Auteur du texte
Bulletin : Classica 162 - mai 2014
Date parution pério
2014-05-01
A chacune de ses apparitions en scène, c'est presque l'émeute. Physique de rock star, voix d'or pur, Jonas Kaufmann est depuis près de dix ans le ténor assoluto. C'est aussi un boulimique de travail, apprenant quatre nouveaux rôles en un an, aussi à l'aise dans les "Lieder" de Mahler que dans Puccini. Il est enfin éminemment lucide et d'une immense gentillesse. Merci, monsieur Kaufmann !
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Auteurs
Tubeuf, André Auteur du texte
Bulletin : Classica 124 - juillet 2010
Date parution pério
2010-07-01
Jonas Kaufmann nous illumine une nouvelle fois de son talent. Sous la direction de Kent Nagano, il incarne le preux chevalier Lohengrin. Sa voix se fait lyrique et héroïque, sensuelle et torride, pour les beaux yeux d'Elsa.
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Numéros de page :
2 p. / p. 76-77