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Les Premiers, les derniers

Article

Auteurs
Libiot, Éric Auteur du texte
Le réalisateur de "9 mois ferme" continue à faire l'acteur de temps en temps. Dans "Les Premiers, les derniers", de Bouli Lanners, ce doux desperado joue un type au centre de l'histoire, mais à côté du monde. Comme lui ?
Numéros de page :
2 p. / p. 74-75

Article

Bouli Lanners n'est pas seulement un cinéaste. C'est un artiste qui a abandonné la peinture pour le cinéma quand il a découvert que les films lui permettaient de raconter une histoire tout en poursuivant ses recherches visuelles. Auteur de ses propres scénarios, il s'est parallèlement illustré en tant qu'acteur, marquant les films du tandem Benoît Delépine-Gustave Kervern, mais aussi d'Albert Dupontel et de son compatriote belge Benoît Mariage, de son sens de l'absurde et de son penchant pour la mélancolie.
Numéros de page :
8 p. / p. 13-20

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Auteurs
Allard, Ariane Auteur du texte
C'est l'un des réalisateurs les plus talentueux du plat pays. Et le second rôle le plus attachant du cinéma francophone. Bouli Lanners cache un coeur gros comme ça derrière ses tatouages de biker. Une rencontre s'imposait, alors que sort en salles son nouveau western, "Les Premiers, les derniers".
Numéros de page :
1 p. / p. 76

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Auteurs
Guerand, Jean-Philippe Auteur du texte
Date parution pério
2016-02-01
C'est dans un film emblématique du jeune cinéma belge, "Toto le héros" de Jaco Van Dormael (1990), qu'apparaît pour la première fois Bouli Lanners sur grand écran. Il a alors 25 ans, une scolarité interrompue aux Beaux-Arts de Liège et une succession de petits boulots à son actif. De régisseur, il devient acteur, un peu par accident, puis prend goût à cette activité. Les court-métragistes et les réalisateurs de télévision puis de cinéma le sollicitent. Il se prend au jeu et s'essaie à son tour à la mise en scène.
Numéros de page :
8 p. / p. 86-93