En 1967 Visconti réalise L'Etranger d'après Camus. Sous l'adaptation littéraire, une relecture politique et visionnaire.

L'histoire passionnante et mouvementée du roman de Camus, de son écriture à sa réception. Avec une belle révélation à la clef.

L'historienne Alice Kaplan propose une biographie de "L'Etranger" et révèle le nom de celui qui inspira la victime de Meursault.

L'Arabe du futur revient, titre une partie de la presse nationale au moment où paraît le troisième tome de l'autobiographie en bande dessinée de Riad Sattouf, un franco-syrien aux cheveux blonds dont la famille a déménagé en Libye, puis en Syrie où il vécut ses douze premières années. Traduit en dix-sept langues, écoulé à environ un million d'exemplaires, il rejoint presque Meursault, contre-enquête, le livre de Kamel Daoud qui bénéficia d'un accueil enthousiaste en France.

En 1967, avec L'Etranger, le cinéaste livrait une adaptation fidèle du roman de Camus. Bien malgré lui.

C'est au Festival d'Aix-en-Provence que nous avons retrouvé Jacques Ferrandez. Son dernier livre, ″L'Etranger″, d'après le chef-d'oeuvre d'Albert Camus, venait tout juste d'être imprimé et c'était sa première grande rencontre avec son public et les amateurs de l'écrivain. Il était sur un petit nuage...

L'auteur de "Mersault, contre-attaque", a lu pour "L'Obs" "En quête de l'Etranger" de l'universitaire américaine Alice Kaplan. L'occasion pour lui d'explorer les nouvelles cartes mentales de ces rivages devenus lieux de tragédies.

Une universitaire américaine s'est risquée à proposer une quatrième traduction en anglais du roman phare de Camus. Mais comment rendre « Maman est morte » et « Je me suis aperçu qu'il me tutoyait » ? Elle réussit là un tour de force.