Avec "Moi, Daniel Blake", ce réalisateur britannique, qui voit dans le cinéma "une arme de guerre", vient de décrocher sa seconde palme d'or.

Ken Loach dénonce la situation absurde de ces chômeurs déclassés auxquels on impute des défaillances d'une administration devenue une machine infernale.

Présentation détaillée du film "Le vent se lève", que Ken Loach a consacré à l'une des périodes les plus difficiles de l'Histoire de l'Irlande, quand la guerre d'indépendance a débouché sur une lutte fratricide dont les braises ne sont pas encore tout à fait éteintes. Une fois encore, l'Anglais, toujours assisté par son compatriote Paul Laverty au scénario, fait preuve de son engagement social en mêlant la grande Histoire. Une formule gagnante, déjà mis en oeuvre pour "Land And Freedom" qui explore la guerre d'Espagne.

Virée de son boulot de recruteuse de travailleurs immigrés, l'héroïne de "It's a Free World" devient à son tour une exploiteuse cynique... Le meilleur Loach depuis "Ladybird".

Trois ans après sa Palme d'or pour Le vent se lève, le cinéaste anglais fou de foot revient sur la Croisette avec Looking for Eric, une comédie mettant en scène le joueur du siècle de Manchester United. Portraits croisés de deux légendes

Prix du jury surprise lors du dernier Festival de Cannes, ″La Part des anges″, le nouveau film de Ken Loach, et son scénario rocambolesque donnent envie d'enfiler un kilt.

Huit ans après sa Palme d'or pour "Le vent de lève", le cinéaste revient en Irlande avec "Jimmy's Hall". Son dernier ? Pas si sûr... Retour sur les films marquants de sa carrière.

Imaginons que la guerre d'Algérie ait effectivement débouché sur son indépendance en 1962, mais que les tenants de l'Algérie française aient réussi à exclure l'Oranais des accords d'Evian, laissant l'Ouest du pays sous protectorat de la République. La situation serait vite devenue intenable.