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Mesplé, Mady (1931-2020)

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vivre avec la maladie de Parkinson
Auteurs :
Année de parution :
2010
La maladie de Parkinson est la deuxième maladie neuro-dégénérative après la maladie d'Alzheimer. Avec 10 000 nouveaux cas par an, elle touche 6,5 millions de personnes dans le monde, et environ 150 000 individus en France, dont 10 % de moins de quarante ans. Mady Mesplé est la marraine de l'association France Parkinson. Atteinte de cette maladie depuis quinze ans, elle souhaite, à travers ce livre, soutenir les malades qui chaque jour souffrent physiquement et refusent l'évolution de ce fléau invalidant. Elle revient sur sa carrière de cantatrice, travaillant sa voix et sa posture, et se souvient des signes annonciateurs de ce mal. Le récit de sa vie, avec les drames et les joies traversés, et son combat contre la maladie de Parkinson témoignent d'une force et d'une volonté exemplaires. Cet ouvrage sera d'un grand soutien pour les malades et pour leur entourage. Oui, être heureux malgré cette affection est possible, réduire les traitements chimiques dévastateurs et coûteux également. Mady Mesplé demande aussi au gouvernement des maisons spécialisées, pour permettre de mieux vivre avec cette pathologie et se donner les moyens de la guérir un jour. Avec l'association France Parkinson
Editeur :
Importance matérielle :
1 vol. (247 p.-[16] p. de pl.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. : 23 cm
9782749912776
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Article

Longtemps il fallait se lever de bonne heure pour me faire associer Mady Mesplé à autre chose qu'une image surannée, confinée, de l'art lyrique : escarpolette, cocottes et crinoline le dimanche à la télé - cette télé des années soixante-dix qui lui faisait bizarrement incarner la Malibran dans un Lucien Leuwen filmé par Claude Autant-Lara. Vous avez dit "qualité française" ? Pour qui s'est attaché à l'opéra vers 1980, régnait de surcroît une sorte de dogmatisme qui dans le répertoire orné de l'âge romantique faisait de Callas le mètre étalon sans discussion, quel que soit le rôle.
Numéros de page :
pp.14-15