Face aux soulèvements populaires, les maîtres à penser de la philosophie critique oscillent entre lutte exaltée pour l'émancipation - Alain Badiou, Etienne Balibar - et critique du progressisme de la gauche moderne - le conservateur en vogue Jean-Claude Michéa. Confrontation.

Dans un essai stimulant, le philosophe Jean-Claude Michéa prédit la fin proche et souhaitable du libéralisme. Et établit Podemos en modèle pour la gauche européenne.

Georges Orwell était un homme d'engagement dans sa vie et dans son oeuvre. La preuve en quatre écrits

Deux ans après son passionnant dialogue avec Jacques Julliard, Jean-Claude Michéa publie "Notre ennemi, le capital" dans lequel il reprend et affine son diagnostic de toujours. Il n'est décidément pas près de se remettre de la faillite morale, intellectuelle et politique d'une gauche moderne qui ne sait plus où habite le peuple. Extraits et entretien.

Jean-Claude Michéa répond aux interrogations d'une gauche en perdition économique et morale.

Ne pas négliger la pensée de Jean-Claude Michéa, telle qu'elle s'exprime livre après livre (aux éditions Climats) : sa verve inventive et insolente, l'étendue de ses lectures et de ses réflexions, sa combativité infatigable, parfois brutale, contre l'Université (″L'enseignement de l'ignorance″), ″la gauche kérosène, celle pour qui le déplacement perpétuel est devenu une fin en soi″ ou ″la gauche style Libé″, la bonne conscience ″humanitaire″, ″le libéralisme parisien″, Michel Foucault, Gilles Deleuze, Michel Rocard, Alain Badiou, le Medef, Philippe Meirieu et les passionnés de la pédagogie, Ca

Le philosophe Jean-Claude Michéa et l'historien Jacques Julliard publient un dialogue passionnant sur les causes du divorce entre la gauche et les classes populaires.

Pour Jean-Claude Michéa, le drame du socialisme c'est de s'être compromis avec les partis politiques bourgeois. Il faut retrouver les chemins qui, de Proudhon à Podemos, forgent la conscience des « gens ordinaires ». Une vision historique discutable.