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Mostra internazionale d'arte cinematografica

Article

Auteurs
Amiel, Vincent Auteur du texte
Une fois admise la prééminence du festival de Cannes (certains en France diront, sans rire, que ce serait plutôt Locarno), le directeur artistique, Alberto Barbera, a tenu à être fidèle au titre officiel "Mostra d'arte cinematografica" en affirmant la vocation cinéphilique de sa manifestation.
Numéros de page :
9 p. / p. 30-38

Article

Auteurs
Bourget, Jean-Loup Auteur du texte
Sur le papier, cette nouvelle édition de la Mostra s'annonçait au mieux et le directeur, Alberto Barbera reconduit pour quatre ans, ne cachait pas sa satisfaction. Fort de l'accueil réservé ces dernières années à quelques films hollywoodiens, "Gravity", "Birdman" et "Spotlight", qui marqua le début de leur marche triomphale vers les oscars, l'industrie américaine ne lésina pas, cette année, pour envoyer les meilleurs produits, permettant à Venise de damer le pion à Toronto.
Numéros de page :
9 p. / p. 28-36

Article

sur trois films de Gianfranco Rosi
Auteurs
Gili, Jean A. Auteur du texte
La Mostra de Venise a pour la première fois de son histoire décerné en 2013 le lion d'or à un film documentaire, "Sacro GRA" ; en 2016, la Berlinale en a fait autant en donnant son ours d'or à un autre documentaire, "Fuocoammare". Leur auteur Gianfranco Rosi, n'arrive pas de nulle part. Avant ces deux films il avait déjà réalisés des courts métrages et surtout trois longs métrages tournés du début des années 1990 à 2010 et certains critiques n'hésitaient pas à affirmer, un brin provocateurs, que le grand Rosi du cinéma italien ce n'était pas Francesco mais Gianfranco.
Numéros de page :
2 p. / p. 88-89