Un essai passionnant de Jean Narboni consacré à l'oeuvre de Mikio Naruse, considéré comme le quatrième très grand du cinéma japonais classique.

Le grand cinéaste japonais Mikio Naruse est resté méconnu malgré son chef-d'oeuvre, "Nuages flottants", édité avec deux autres films.

Présentation du film du réalisateur japonais Mikio Naruse, "Une Femme dans la tourmente" qui reste encore trop méconnu des cinéphiles français.

Plongée dans le cinéma japonais des années 1960 avec le film de Mikio Noruse "Quand une femme monte l'escalier".

Longtemps, l'Occident oublia Mikio Naruse, connu essentiellement pour son classique "Okâsan", adaptation de "La Mère" de Gorki. Aujourd'hui, après les grandes rétrospectives des années 80, une série de 6 films permet de mesurer son importance sans doute égale à celle d'Ozu ou de Mizogushi.

Un rétrospective à la cinémathèque sonne enfin l'heure de la reconnaissance pour Mikio Naruse, géant à l'égal d'Ozu, qui d'un genre très japonais, le drame ordinaire des petites gens, fit une oeuvre monumentale.

Dans "Sincérité", deux demi-visages occupent les deux bords de l'image : ce plan partagé pourrait résumer la dramaturgie des films de Naruse.

Sommaire. 70e festival de Cannes. Les films nous regardent-ils encore ? Un été avec Mikio Naruse. Titres recensés : "Une vie violente" de Thierry de Peretti. "Ava" de Léa Mysius. "Les filles d'Avril" de Michel Franco.

Le cinéma japonais est le seul, hormis les cinématographies occidentales, à témoigner d'une continuité dans la création depuis l'époque du muet.