Cinéma -- Japon
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Bulletin : Les Inrockuptibles 644 - avril 2008
Rétrospective de l'oeuvre rare mais essentielle d'un des grands de la Nouvelle Vague japonaise, compagnon de route d'Oshima.
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Pedroletti, Brice Auteur du texte
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Bulletin : Positif 566 - avril 2008
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Bulletin : Positif 589 - mars 2010
Takeshi Kitano, cinéaste majeur des années 90 qui virent ses débuts, se lança à l'orée des années 2000 dans des expériences variées et concluantes (Aniki, mon frère, Dolls, Zatoichi). Mais quelque chose se rompit avec Takeshis' (2005) et Glory to the filmmaker (2007), deux volets d'une autobiographie fictive, entre sarcasme et bouffonnerie, qui ne trouvait ni son ton ni son rythme. Kitano évoque volontiers aujourd'hui la frustration où il se trouvait alors et la lourdeur de ces deux films.
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Numéros de page :
/ p. 6-15
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Niogret, Hubert Auteur du texte
Bulletin : Positif 627 - mai 2013
Le décès récent de Nagisa Oshima nous a incité à consacrer un dossier lui rendant hommage, tant la présence du cinéaste dans l'histoire du Japon de l'après-guerre a été importante.
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Numéros de page :
22 p. / p. 90-98, 100-112
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Bulletin : Positif 407 - janvier 1995
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Bulletin : Cahiers du cinéma 466 - avril 1993
Longtemps, l'Occident oublia Mikio Naruse, connu essentiellement pour son classique "Okâsan", adaptation de "La Mère" de Gorki. Aujourd'hui, après les grandes rétrospectives des années 80, une série de 6 films permet de mesurer son importance sans doute égale à celle d'Ozu ou de Mizogushi.
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Bulletin : Cahiers du cinéma 508 - décembre 1996
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Bulletin : Cahiers du cinéma 513 - mai 1997
La grande rétrospective du cinéma japonais à Beaubourg, et l'édition en vidéo de quatre films de Naruse offrent l'occasion de revisiter une oeuvre où le quotidien est élevé au rang des arts.
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Bulletin : Cahiers du cinéma 521 - février 1998
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une rampe en forme de précipice
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Bulletin : Cahiers du cinéma 527 - septembre 1998
Makino, Ito, Kudo, Misumi... Parmi les grands cinéastes japonais de genre, un seul n'avait pas droit de cité, l'année dernière, dans la grande rétrospective de Beaubourg : Tai Kato, considéré à tort comme un cinéaste de seconde zone parce que de série B...
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Bulletin : <>Histoire 330 - avril 2008
Yoshida est l'un des grands maîtres du cinéma japonais. Depuis les années 1960, il livre un regard acéré sur son pays. Une rétrospective lui est consacrée à Beaubourg.