Devant la multitude des pratiques en matière d'enseignement de la philosophie, et pour éviter toute assimilation entre le discours philosophique et le discours d'opinion, un ouvrage qui aide les enseignants à analyser la question suivante : qu'est-ce qui permet de dire que c'est de la philosophie ?

910 entrées citent 360 auteurs de toutes les cultures et de toutes les époques pour aider à penser la complexité du monde actuel. Un ouvrage d'initiation au jugement critique permettant de comprendre les grands débats de société, illustré de dessins humoristiques.

L'auteur tente de démontrer que le voyage appartient au possible et reste une forme inaliénable de liberté et la promesse d'un bonheur ailleurs.

Réflexion sur le cyclisme à travers une série de thèmes philosophiques allant de la prédestination à Dieu en passant par le langage, l'esthétique, la liberté et la vérité. Chacun est l'occasion d'une anecdote dans laquelle le romancier, au gré de sa mémoire, de ses sensations, de ses émotions, réaffirme sa passion pour le vélo.

En ce début de XXIe siècle, une des questions cruciales est celle de l'optimisation des énergies disponibles : comment consommer autrement ? L'auteur propose d'aller plus loin que la réutilisation, la récupération ou le recyclage en introduisant l'idée du réemploi des matériaux.

La pathologie mentale doit s'affranchir de tous les postulats d'une "métapathologie". Il faut donc analyser la spécificité de la maladie mentale, rechercher les formes concrètes que la psychologie a pu lui assigner, puis déterminer les conditions qui ont rendu possible cet étrange statut de la folie.

Dans cet essai, P. Hadot réfléchit à l'idéalisation de la Grèce dans la philosophie et la culture allemandes, notamment dans les oeuvres de Schilling, Hölderlin, Goethe. L'homme antique et païen y est un homme heureux, sain, vivant dans le présent, dont la figure sereine s'oppose à celle maladive et chrétienne des romantiques. Pour Goethe, la santé antique est le résultat d'un exercice spirituel.

Dans ces textes sur le théâtre présentés sous forme de dialogues, le dramaturge tente de créer le fondement théorique d'un théâtre de l'âge scientifique. Il plaide pour un théâtre qui simule le monde sur scène et qui a un rôle dans l'histoire. Commencé en 1939, progressant de façon irrégulière, le travail de Brecht se termine en 1955 et reste fragmentaire.

Aborde les relations entre l'homme, la pensée, le savoir et la machine dans l'esprit de renouveler le style philosophique par une discipline de philo-fiction. Reprend cette thématique dans le contexte de la science-fiction avec Matrix, la logique de l'ordinateur avec Turing et enfin l'élaboration théorique avec le cognitivisme et la non-philosophie.