Joseph Kabila, Etienne Tshisekedi, Jean-Pierre Bemba, Azarias Ruberwa, deux ou trois outsiders et autant de faiseurs de rois. Jamais depuis son indépendance, en 1960, le pays n'aura connu une consultation générale aussi libre et ouverte.

Dans un pays où musique et politique ont toujours été intimement liées, le rôle des artistes dans les élections de juin 2006 sera crucial.

Avec le mariage annoncé du chef de l'Etat, la religion s'invite dans la campagne électorale.

Quel que soit le vainqueur de la présidentielle congolaise du 30 juillet 2006, le chantier qui l'attend est immense : économie sinistrée, pauvreté, corruption, violence, régionalisme...

A la veille des scrutins présidentiel et législatif du 30 juillet 2006, les ouvrages géopolitiques aussi bien que les opuscules partisans se multiplient.

A moins d'un mois de la présidentielle du 30 juillet 2006, la tension monte. Chaque candidat cherche à faire le plein de voix dans sa province d'origine. Quel qu'en soit le prix.

Avions, hélicoptères, affiches... pour les élections du 30 juillet 2006, les candidats ne lésinent pas sur les moyens pour quadriller leur pays. Et misent beaucoup sur quelques hommes clés et leur savoir-faire politique.

Le patron du MLC est l'un des adversaires les plus sérieux de Joseph Kabila à l'élection du 30 juillet 2006.

Les résultats de l'élection historique à la tête de l'Etat révèlent un pays déchiré. Comment le président Joseph Kabila compte-t-il faire pour recoller les morceaux ?

La large élection de Joseph Kabila à la présidence de la République n'est pour l'instant contestée par Jean-Pierre Bemba, son challengeur, qu'avec modération.

Les résultats de la présidentielle ne sont pas encore proclamés que la population, impatiente de sortir de la crise, s'inquiète déjà de l'après-scrutin et du vaste chantier qui s'ouvre pour le futur chef de l'Etat?