L'égérie du mouvement conservateur entretient le suspense sur son éventuelle candidature à la Maison-Blanche. Mais elle estime déjà pouvoir battre Obama en 2012.

Même s'il traverse une mauvaise passe, le président américain a de bonnes chances de remporter un second mandat. C'est ce que prédit le modèle de l'économiste Ray C. Fair.

En deux ans, l'ex-candidate à la vice-présidence est devenue une personnalité politique incontournable. Magistralement installée dans le paysage médiatique, elle agace autant qu'elle fascine. Sa popularité s'accroît dans le camp conservateur, mais elle préfère laisser encore planer le doute sur ses intentions pour 2012.

Tétanisés à l'idée de devoir affronter l'actuel locataire de la Maison-Blanche, les conservateurs hésitent à se lancer dans la course pour la présidentielle de 2012.

L'élimination d'Oussama Ben Laden restera incontestablement comme l'une des plus grandes réussites du président américain. Mais elle ne garantit pas pour autant sa réélection en 2012.

C'est officiel. La représentante républicaine du Minnesota est candidate à la présidentielle de 2012. Dieu lui aurait enjoint de se lancer dans la course. Portrait de la nouvelle pasionaria des conservateurs.

Pour la première fois, deux femmes - Sarah Palin et Michele Bachmann - pourraient briguer l'investiture républicaine en vue de l'élection présidentielle de 2012. De quoi ravir la base féminine du parti.

Le gouverneur républicain du Texas vient de se porter candidat à l'investiture de son parti. Et fait d'ores et déjà figure de favori.

Présenté comme le seul candidat capable de battre Obama en 2012, Mitt Romney est loin de faire l'unanimité chez les conservateurs, souligne le mensuel de droite ″The American Spectator″.

Il y a peu, on tenait Mitt Romney pour le grand favori à l'investiture républicaine, le seul capable de battre Obama en novembre 2012. C'était oublier les divisions du Parti républicain. La victoire de Newt Gingrich le 21 janvier en Caroline du Sud relance la bataille au sein de la droite américaine. A la grande satisfaction du camp démocrate.

Trois ans après son accession à la Maison-Blanche et en pleine campagne pour sa réélection, Barack Obama fait toujours l'objet d'attaques aux relents racistes.