Observer le ciel, c'est regarder dans le passé de l'Univers, mais aussi parfois deviner son avenir. Que ce soit supernova qui s'annonce, la fin d'une étoile comme le soleil, les rencontres entre galaxies ou le destin du cosmos, certains phénomènes sont aujourd'hui suffisamment cernés pour que les astronomes parviennent à en déterminer l'échéance.

Observer le ciel, c'est regarder dans le passé de l'Univers, mais aussi parfois deviner son avenir. Que ce soit supernova qui s'annonce, la fin d'une étoile comme le soleil, les rencontres entre galaxies ou le destin du cosmos, certains phénomènes sont aujourd'hui suffisamment cernés pour que les astronomes parviennent à en déterminer l'échéance.

Vieillissement, inégalités, monnaies, tourisme, ressources naturelles... un magnifique atlas prospectif, "2038. Les futurs du monde", éclaire notre présent et explore nos possibles avenirs.

Quels sont les changements de fond intervenus au cours des années 2000 dans l'art et la culture et qu'annoncent-ils pour la décennie qui commence ? C'est à ce jeu de l'analyse et de la prospective que la rédaction de Beaux Arts s'est attelée, avec la collaboration d'invités comme le philosophe Yves Michaud ou l'écrivain Marie Darrieussecq, qui a imaginé la vie d'un artiste en 2017. Bon retour dans le passé et bienvenue dans les années 10 de la culture.

Dans un livre très argumenté, deux astronomes dressent un état des lieux détaillé de la Terre. Nous devons gérer notre planète comme un vaisseau spatial, disent-ils. Il n'y a pas de Terre de rechange.

Des étoiles aux amas de galaxies, rien dans l'Univers n'est éternel. Sur des échelles de temps démesurément longues, tous les objets que nous connaissions finiront pas disparaître dans le néant. Petite revue des scénarios possibles pour le très lointain futur.

L'islam n'est-il que la religion de la soumission de l'homme à Dieu ? Ne peut-on concevoir, à partir d'une relecture des commentaires classiques du Coran, l'homme comme héritier de Dieu et voir quelles sont les conséquences qui en découlent pour la foi contemporaine ?

La population mondiale exerce une pression croissante sur l'environnement. Les hommes n'éviteront la catastrophe que s'ils modifient les institutions, les techniques et les mentalités.

Alors que les oracles de l'informatique et les maîtres du capitalisme vert revendiquent le monopole des lendemains qui chantent, la gauche déserte les grands projets d'avenir. A défaut d'espérer changer le monde, elle raccroche ses espoirs à ses souvenirs, en particulier ceux des années d'après-guerre. Mais peut-on concilier progressisme et nostalgie ?