Depuis quelques semaines, les bonnes nouvelles s'accumulent et redonnent un peu d'espoir. Surtout, la France dispose de solides atouts et nombre de secteurs affichent encore une belle santé. Qui, aujourd'hui, incitent à po-si-ti-ver.

Les marchés ne feront aucun cadeau. Comment les candidats se préparent au choc.

La campagne est terminée. François Hollande ne peut plus esquiver.

Réflexion, fin 2010, sur les difficultés que rencontre la jeunesse française pour accéder à l'emploi, avec un délai d'obtention du premier emploi stable à 28 ans. Les 18-25 ans sont ainsi devenus les premières variables d'ajustement lors de la crise économique. Quant aux jeunes diplômés, ils sont 25 % à souffrir de déclassement. Des difficultés que l'Etat ne parvient pas à diminuer, avec peu d'aides attribuées aux 18-25 ans.

Interrogés sur leur vision de la France en 2025, les membres du gouvernement ont rendu des copies bien naïves.

Le patron de la Commission des finances passe au détecteur de mensonges la présentation du projet de budget 2014. Si la note est passable pour la prévision de croissance, elle est nettement inférieure à la moyenne pour des économies ″en tendance″ et elle est nulle pour le trop plein d'impôts.

François Hollande tente de convaincre que les mois à venir sont plus prometteurs que les deux années passées.