Court dossier consacré, en novembre 2010, à la responsabilité sociale de l'entreprise (RSE) en France et à l'international. Sommaire. Le point sur la poursuite de l'élan en faveur du développement durable dans les entreprises mondiales, malgré la crise qui a freiné l'économie mondiale. Le regard d'Accenture Management Consulting : le développement durable version 2010 : analyse des résultats de l'étude livrée par Accenture aux partenaires du Pacte mondial des Nations unies sur la vision développement durable de 850 dirigeants (93% l'estime comme un facteur clef du succès).

Eclairage, en mars 2012, sur l'engagement des sociétés françaises du Cac 40 qui s'engagent dans des projets économiques à destination des populations pauvres à travers le monde. Un marché de 4 milliards de personnes où peut se conjuguer croissance du chiffre d'affaires et aide au développement. Ces projets, s'appuyant sur les ONG et les sociétés de microcrédit, ouvrent la voie d'un modèle économique hybride, entre capitalisme et coopératif. Malgré le temps de gestation long des projets qui peut décourager les investisseurs, des initiatives voient le jour.

Renforcement de la capacité de la société civile, en France et dans le monde, à dénoncer les stratégies d'écoblanchiment, ou greenwashing, mises en oeuvre par les entreprises. Les données environnementales communiquées dans les rapports d'activité des grands groupes sont finement analysées et permettent de mettre à mal les pratiques soi-disant vertueuses. Une dénonciation fortement redoutée par les entreprises. Cette analyse demeure toutefois difficile car les indicateurs de références ne sont pas standardisés.

Plaidoyer d'Antoine Frérot, PDG de Veolia, spécialiste français des services à l'environnement, en mars 2016 pour enjoindre les dirigeants d'entreprises à changer radicalement d'attitudes. Selon lui, les solutions pour continuer d'évoluer dans ce contexte anxiogène et compliqué (mondialisation, crise économique, menaces terroristes) résident dans la sociologie et la philosophie.

Décryptage des particularités des banques mutualistes en France et dans le monde. Face à des crises financières récurrentes, la structure et la finalité des banques mutualistes pourraient limiter les dévoiements de la financiarisation. De par leur statut, cette catégorie de banque encourage la transparence associée à sa gouvernance collective, institutionnalise la responsabilité sociale. Explications et pondérations de ces caractéristiques issues d'analyses d'économistes et d'essayistes. Un tableau liste les critères de différenciation entre sociétés par actions et sociétés coopératives.