Quatre sociétés de ventes volontaires défendent à Paris les couleurs de l'art contemporain avec une série de vacations organisées parallèlement à la FIAC.

Le marché des ventes publiques d'art contemporain a atteint à Paris un niveau historique pendant la FIAC.

Les arts primitifs sont toujours sous l'effet "Quai Branly".

Un Matisse a été adjugé 5,16 millions d'euros, confirmant la bonne santé du marché français.

Face à la concurrence internationale, le commissaire-priseur de Neuilly joue la carte de l'art moderne. Sa vente du 20 décembre 2006 est estimée 12 millions d'euros.

Dynamisée par l'ouverture du Musée du quai Branly, la scène parisienne reste en pointe pour les chefs-d'oeuvre de l'art africain