Réflexions sur les relations des individus aux objets matériels et notamment au gaspillage. L'auteure aborde les enjeux sociaux, politiques, individuels et économiques de ce phénomène. ©Electre 2019

Afin de démontrer qu'il est possible de voyager sans polluer, l'activiste écologique a fait le pari de traverser les Etats-Unis sur un vélo en bambou, sans utiliser ni électricité ni eau courante, en mangeant local, bio, sans emballage ou en exploitant les déchets. Dans ce récit, il explique sa philosophie et décrit, jour après jour, ses aventures, ses difficultés, ses joies et ses rencontres. ©Electre 2020

Pour André Gorz, défense du « monde vécu » et défense du « milieu naturel » sont les deux faces d'une même résistance. Il inscrit la question écologique dans le cadre plus vaste de la domination des « systèmes » (marché capitaliste et administration étatique) sur le « monde vécu ». Tandis que le capital, à l'accroissement illimité, menace la nature qu'il pille autant que la société qu'il manipule, l'autogestion est une autolimitation, selon le « principe de suffisance » : une gestion raisonnable et un lissage des richesses atténuent les tensions sociales et préservent les ressources naturelles. Le choix de la décroissance est un arbitrage démocratique entre efforts consentis et besoins reconnus, qui assure tout à la fois moins de charge de travail (redistribué), plus d'autonomie (espaces coopératifs) et de sécurité (revenu garanti), et qui laisse leur temps aux activités qui valent pour elles-mêmes. 

Florent Conti décrit ses voyages en van à travers l'Amérique du Nord. Il explique comment il parvient à subvenir à ses besoins au quotidien et donne des conseils pratiques tout en proposant son point de vue sur le sens de la vie à l'heure de la société de consommation. ©Electre 2019

Des défis visant à changer ses habitudes quotidiennes afin d'adopter un mode de vie respectueux de soi et de l'environnement : éviter les déchets, limiter ses achats ou consommer des produits locaux et biologiques. ©Electre 2020

La pandémie de Covid-19 a éveillé un sentiment de vulnérabilité chez les citadins. À l’annonce du confinement, des centaines de milliers de personnes ont quitté les centres urbains pour se précipiter à la campagne. Électrochoc, introspection, n’est-il pas urgent d’interroger ses choix de vie et d’envisager de quitter la ville pour de bon ? Ce petit manifeste écologiste dresse le constat du rêve déchu d’exode rural et encourage à faire le point sur les aspects dysfonctionnels et assujettissants de la vie urbaine. Il invite également à porter un regard nouveau sur les campagnes. Grâce au témoignage de Claire, qui a elle-même franchi le cap de l’exode urbain il y a maintenant dix ans, le projet d’une vie rurale, plus simple, proche de la nature, coopérative, humaine, mais néanmoins moderne et connectée, semble enfin réalisable. Et s’il suffisait de s’autoriser à rêver ?

Résultats de l'enquête menée de 2012 à 2014 par le journaliste dans dix régions françaises auprès de personnes qui, se démarquant du modèle productiviste et consumériste actuel, innovent dans les domaines économiques et sociaux : habitants d'écovillages, agriculteurs biologiques, acteurs d'écoles alternatives, alterentrepreneurs, etc. Electre 2014

Présentation de la méthode Streamline en dix points : se réinventer, trier, identifier la raison d'être de chaque objet, établir une place pour chaque objet, assainir toutes les surfaces, créer des modèles, trouver des limites, adapter le principe du "il arrive donc il part", nettoyer, entretenir. ©Electre 2016