La légende de Steve Jobs encore revisitée au cinéma. Cette fois, c'est Danny Boyle (Trainspotting) qui s'y colle, avec l'aide du scénariste Aaron Sorkin, auteur d'"A la maison blanche" et "The Social Network". Quel éclairage nouveau apportent-ils ?

Titres recensés : "Steve Jobs" de Danny Boyle et "Joy" de David O. Russell ; "Les chevaliers blancs" de Joachim Lafosse ; "Made in France" de Nicolas Boukhrief et "Taj Mahal" de Nicolas Saada ; "Homeland (Irak année zéro)" d'Abbas Fahdel ; "Les huit salopards" de Quentin Tarantino ; "Spotlight" de Tom McCarthy ; "Mistress America" de Noah Baumbach ; "Toto et ses soeurs" d'Alexandre Nanau.

Un gourou techno, des joutes verbales tranchantes comme des lames, l'invention du monde connecté... Le "Steve Jobs" de Danny Boyle serait-il l'héritier direct du "Social Network" de David Fincher ? Bien sûr. Écrit, lui aussi, par l'immense Aaron Sorkin, il est un nouvel exemple de l'équilibre des forces qui peut s'établir entre un grand cinéaste et un grand scénariste. Et des chefs-d' oeuvre qui en résultent parfois.

Dans "Steve Jobs", Danny Boyle raconte la vie du fondateur d'Apple en trois actes, entre 1984 et 1998. Le cinéaste commente six scènes clés de son film.

Portrait du créateur d'Apple, le nouveau film de Danny Boyle n'a pas du tout plu à sa veuve et aux patrons actuels de la marque. Le réalisateur de "Slumdog Millionnaire" s'explique.

La biographie du fondateur d'Apple, paraît cette semaine dans le monde entier. Entretien avec l'auteur, Walter Isaacson, auquel Steve Jobs s'était longuement confié.