Un inédit de l'écrivain, mort il y a plus d'un an, est paru en Italie. L'histoire d'une certaine Isabel ayant mystérieusement disparu, puis réapparu.

Cet été, les lecteurs du "Monde" ont pu lire des extraits de ce nouveau recueil d'Antonio Tabucchi qui, loin de raser les murs de la Cité, considère les yeux grands ouverts les turpitudes du monde où un coup de dés peut-être l'a fait naître.

Le pays est très malade. Pour le soigner nous n'avons pas besoin de charlatan ni de bonimenteur à la Berlusconi, mais d'un bon docteur capable d'imaginer un traitement intelligent. Et ce traitement sera d'abord culturel.

"Pereira prétend", le nouveau roman de l'auteur de "Requiem" et de "Nocturne indien", a fait un triomphe en Italie. Le livre est devenu, presque malgré Tabucchi, le symbole de la lutte contre Berlusconi. Rencontre.

Le beau fantôme de Pessoa est convoqué dans cet envoûtant "Requiem" du plus portugais des écrivains italiens.

Dans son nouveau récit, l'auteur de "Nocturne Indien" adresse dix-sept lettre d'amour à des amantes imaginaires. Rencontre.

Le grand écrivain italien publie "Tristano meurt", méditation romanesque sur la mémoire de son pays, et parle de l'écriture, de ses fantômes, et de Berlusconi.

Antonio Tabucchi dresse le portrait d'un héros de la Résistance dans son pays et Gianni Riotta raconte l'odyssée d'un militaire italien, prisonnier pendant la guerre aux Etats-Unis.